Analyse Ufapec mars 2016 par A. Pierard

03.16/ Pourquoi développer le goût de la lecture à l'école fondamentale ?

L’apprentissage de la langue conditionne le destin scolaire et social de chacun de nos enfants.
Qui sait parler, lire et écrire, sait penser par lui-même, mais aussi réfléchir avec les autres, accepter l'autre, trouver sa place en société.

BENTOLILA Alain

Introduction

L’écriture est partout autour de nous. La maitrise de la lecture est un prérequis indispensable pour prendre pleinement sa place en tant que citoyen et être une personne présente et active dans notre société. Les personnes ne sachant pas lire sont mises à mal dans de multiples situations. L’apprentissage de la lecture est essentiel : à l’école comme à la maison.

Premiers éducateurs, les parents peuvent pousser leurs enfants dans cet apprentissage, susciter chez eux le goût de la lecture en leur lisant des histoires, leur achetant des livres… Mais tous ne sont pas égaux par rapport à la lecture : personnes analphabètes, familles de milieu populaire[1], familles n’étant pas dans la culture du livre… L’école, principal dispensateur de compétences, a un rôle éducatif et pédagogique essentiel à ce sujet pour tous les enfants et plus particulièrement pour ceux qui n’ont pas les prérequis en matière de lecture et d’écriture. Malgré cela, comment ensemble pousser cet apprentissage et développer le goût de la lecture chez les enfants ?

Comment réduire, à l’école, les inégalités sociales liées à la lecture ? Comment aider l’enfant à suivre un parcours de lecteur, du premier album à la lecture de textes divers, qu’elle qu’en soit la forme ? Comment l’accompagner dans la découverte du livre et lui fournir les outils qui lui permettront de s’ouvrir au monde des possibles ? Comment éveiller le goût de la lecture chez l’enfant ? Quelle place a encore la lecture dans notre société où l’image prend une place considérable ?

Pourquoi lire ?

La maitrise de la langue orale, mais aussi écrite, est essentielle. Elle permet d’avoir une pensée plus claire et donc d’être mieux compris, entendu, reconnu pour pouvoir prendre sa place d’adulte et de citoyen. La lecture est fondamentale, car elle est la compétence de base, le passage obligé pour accéder aux autres apprentissages et avancer dans le parcours scolaire[2]. La lecture est essentielle pour postuler à un emploi, comprendre ce qui est écrit dans les courriers administratifs, les livres, les brochures, les journaux, sur les affiches… Nous pensons comme Henri Wadier, que susciter « le plaisir de lire, ne pas tricher avec le sens des mots, inscrire la lecture dans la vie – oui, c’est cela l’essentiel. Mais il est tout aussi essentiel de doter l’enfant, au bon moment, d’un outil sûr. Qu’on le veuille ou non, même si des signes de déclin apparaissent, la lecture et l’écriture restent des actes humains fondamentaux.[3] » Il y a effectivement des exigences sociales, scolaires et professionnelles de capacités de lecture et d’écriture. Cependant, ces capacités et donc la réussite scolaire et professionnelle ne dépendent pas directement du goût de la lecture. Mais le goût de la lecture ne nous aide-t-il pas à développer ces capacités ?

Lire, c’est :

  • Déchiffrer des codes et du sens ;
  • Identifier les mots et observer les différentes entre eux ;
  • Affirmer et enrichir son langage et sa pensée ;
  • S’ouvrir au monde ;
  • Comparer les expériences ;
  • S’émouvoir, se reconnaitre dans la vie d’un héros ;
  • Changer d’identité, entrer dans la peau du personnage ;
  • Rêver, imaginer.

Quelle méthode utiliser ?

Dans la scolarité de l’enfant, la famille et l’école sont complémentaires tout en ayant des rôles différents. Dans l’intérêt de l’enfant, l’enjeu est d’aller au-delà des différences et d’arriver à une reconnaissance de sa valeur personnelle. Comme pour d’autres apprentissages, il est important, tant pour les parents que pour l’école, que chacun joue son rôle d’éducateur et développe une collaboration en visant toujours l’intérêt de l’enfant. Etre éducateur, « c’est être conscient que la maitrise de la langue conditionne le destin scolaire et le destin social de ses enfants ; c’est prêter aux conditions de son développement une attention sans faille faite d’autant de tendresse que de fermeté.[4] »

Pour encourager le goût de la lecture, il n’y a pas une méthode unique mais bien une liberté pédagogique d’adaptation aux enfants : laisser trainer des livres, conter des histoires avec gestes, mimiques et intonations… Ceci en gardant en tête l’intérêt de faire des liens avec l’apprentissage de l’écriture. « Lorsque l’on apprend à lire, il faut nécessairement découvrir comment fonctionne le code écrit et comprendre notamment le principe des mécanismes qui relient les unités graphiques et les unités phoniques de l’oral.[5] ». L’apprentissage de la lecture sera plus facile pour les enfants dont la famille partage la culture de l’écrit. Pour les élèves précarisés ou ne vivant pas dans la culture de la lecture à la maison, l’accrochage sera plus compliqué. Pour certains, on peut parler du passage d’une culture à une autre. Il sera essentiel, à l’école, d’accompagner les premières lectures des élèves qui n’ont pas les prérequis, de tenir compte des capacités de l’enfant, de lui proposer un enseignement adapté, mais aussi de partir de sa curiosité et développer sa maitrise de l’acte lexique. « Apprendre à lire, c’est d’abord « vouloir lire », et nous l’avons vu, cette attitude n’est ni aisée, ni naturelle, ni spontanée chez tous les enfants. (…) apprendre à lire, c’est aussi et surtout « pouvoir lire », c’est-à-dire maitriser l’acte lexique, pouvoir pratiquer le code de transcription graphique de la chaîne sonore. Ce « pouvoir lire », l’enfant ne l’acquerra qu’à l’école élémentaire. Cependant, une réflexion sur sa nature et les difficultés qu’il présente n’est pas inutile à l’école maternelle dont un des objectifs, et non des moindres, est de préparer « de loin » l’enfant aux mécanismes de cet acte complexe.[6] »

Apprendre à lire, c’est apprendre à penser et à vivre : apprendre à manipuler soigneusement le livre, découvrir les enjeux de la lecture, développer le respect dû à l’auteur… cet apprentissage propose tout un cheminement de l’esprit pour une lecture courante et expressive, naturelle et intelligente. Le livre est à utiliser comme une source d’information, un instrument d’émancipation, un outil de socialisation, un refuge.

En plus de préparer à l’acte lexique et développer le vouloir lire, l’école peut développer des collaborations avec la bibliothèque (réflexion commune autour des livres, visite de classe à la bibliothèque, faire venir la bibliothèque à l’école, apprentissage de la recherche…) mais aussi avec les parents. Le partenariat école-famille a toute son importance. Il s’agit de reconnaitre la culture familiale (écrite, orale, étrangère…) et de s’inscrire dans une coexistence de cultures, dans la réalité d’une société multiculturelle (cultures de l’écrit, de l’oral, de l’image…). Dans ce sens, des collaborations peuvent se mettre en place avec les parents avec l’aide, si besoin, d’organismes ou d’associations partenaires.

Différents projets centrés sur les livres, pour les enfants et/ou les parents peuvent être mis en place à l’école, via le Conseil de Participation ou l’association de parents. Par exemple :

  • Une bibliothèque dans l’école ;
  • Des parents et grands-parents conteurs ;
  • Une foire du livre ;
  • Un arbre à livres dans la cour de récréation rempli par les élèves et accessible à tous ;
  • Un parrainage lecture par des élèves de 4e primaire pour des élèves de maternelle ;
  • Une soirée contes et pyjamas ;
  • Un dragon de la lecture[7] ;
  • Des midis contés[8].

Dans cette optique de partenariat, l’école doit porter attention aux parents peu familiers avec le livre, les aider dans une familiarisation à la culture de l’écrit et leur donner confiance dans leurs capacités à raconter une histoire.

Choisir un livre

Il n’y a pas de bons et mauvais livres mais des livres qui touchent la subjectivité de chacun par la couverture, le graphisme, les couleurs … L’idée est de se laisser guider par son instinct, ses goûts, d’oser demander conseil, de proposer à l’enfant une diversité de livres au niveau des histoires, des dessins, des styles…

Partager un moment de plaisir

La lecture est un support de socialisation, elle permet une ouverture sur le monde et peut être source d’échange, moyen de communication. « Le livre est un bel outil pour faciliter les liens, il favorise la transmission culturelle entre parents et enfants et il est un appui de choix pour l’intégration.[9] »

Lire un livre à un enfant, c’est prendre le plaisir de partager un moment ensemble et développer le bonheur de s’intéresser et s’émouvoir ensemble. Permettons nous de prendre des libertés, de les laisser vivre le livre, de leur permettre d’entrer dans l’histoire. « Plus nos enfants ont la possibilité d’être partie prenante de la lecture – quitte à se contenter d’écouter – plus ils aiment les livres. Quand nous les laissons nous guider, leur appétit pour la lecture est insatiable. Ils ne se lassent pas de jouer avec les images et les mots.[10] ». Osons rendre la lecture vivante, choisir et relire des livres que nous aimons et qui leur plaisent. Pour en faire un moment agréable, on proposera un cadre de lecture accueillant : dans un fauteuil, au coin du feu, sur les genoux, dans le lit…

Entre donner le goût et risquer de dégoûter

Le goût de la lecture n’est ni naturel, ni spontané. Le rôle des parents et des enseignants est de le susciter et d’éviter le dégoût qui peut survenir si l’on propose des livres non adaptés à l’âge, aux envies... L’essentiel est d’avoir le goût et l’envie d’apprendre, comme pour parler une autre langue. Même si on fait des fautes, il faut persévérer, s’exercer, avancer dans son apprentissage… Une fois le goût de lire présent, le reste suit. C’est avoir le goût de la lecture qui motive et donne envie de maîtriser plus et mieux.

L’enseignant doit « prendre conscience que tous les enfants n’entrent pas à l’école avec le même bagage langagier. Cela pousse encore à envisager un enseignement différencié en fonction de l’élève et de ses besoins. Avec bienveillance mais exigence, l’enseignant peut alors amener progressivement l’enfant dans un nouveau monde, celui de l’écrit. Si le récit et le livre sont synonymes de plaisir pour l’enfant, il développera l’envie d’apprendre à lire.[11] » En tenant compte du fait que les enfants ne sont pas tous égaux devant la langue (orale et écrite), il est essentiel de respecter le rythme de chacun, de leur permettre de trouver leur itinéraire personnel de lecteur, de s’adapter aux besoins, de partir de leur désir d’apprendre et les motiver, de susciter le plaisir de lire en proposant des livres adaptés, d’éveiller et d’entretenir la curiosité, l’envie de savoir et de comprendre, de répondre aux questions, de les aider à révéler leurs intérêts profonds.

Cela nécessite un accès aux livres et aux informations pour répondre aux questions et prendre en compte les désirs de l’enfant d’en savoir plus. « Pour tenter de répondre efficacement, les adultes, désarmés dans leur légitime ignorance, devraient avoir accès à des informations et des livres documentaires de qualité. Ils n’y découvriraient peut-être pas toujours une réponse immédiate et satisfaisante, mais pourraient s’y référer avec l’enfant. Celui-ci serait ainsi pris au sérieux dans son questionnement et verrait peut-être des pistes nouvelles s’ouvrir à lui. Cela suppose qu’adultes et enfants aient un accès facile aux livres et aux divers moyens de s’informer.[12] » Avons-nous tous les mêmes facilités d’accès aux livres ? Les livres ayant un certain prix, faudrait-il le démocratiser ? Pour un meilleur accès à la lecture, serait-il pertinent de rendre les bibliothèques plus attractives, de leur fournir des livres plus récents et en meilleur état, de développer des animations autour du livre parents-bébés ?

Enjeux de l’apprentissage de la lecture

Apprendre à lire est essentiel dans notre société où l’écrit garde une place considérable. Pouvoir lire ouvre au monde et à la diversité, il s’agit de découvrir la face écrite de la langue, le sens des mots, une nouvelle conduite relationnelle (code de la communication écrite), de se situer dans un réseau de connaissances, d’éveiller son intelligence et de prendre en compte la diversité des questions.

Le livre est un outil de connaissance, d’ouverture aux autres et sur le monde, d’enrichissement personnel et un moyen d’évasion. Il participe à la construction identitaire, à l’assimilation des codes et des principes, au développement des compétences langagières, à l’accès au savoir et au développement de la tolérance et du respect des différences. « Développer le sens critique des enfants à travers une lecture nuancée prend ici tout son sens. Les aider à devenir des lecteurs responsables et conscients des messages qu’ils reçoivent fait partie des tâches éducatives.[13] » Lire permet la satisfaction de sa curiosité, l’identification et la projection dans l’autre, l’élargissement de son expérience.

Il y a une distinction à faire entre le fait d’apprendre à lire et celui de devenir un lecteur qui a découvert le plaisir de lire. Il faut pouvoir différencier le savoir-lire qui est indispensable et la lecture-loisir qui est un plaisir facultatif. Le goût de la lecture n’est pas exigé pour réussir, apprendre, savoir lire ou être heureux. Le plaisir peut être long à venir, mis en stand-by… L’amour de la lecture ne se commande pas ! Mais ne peut-il pas tout de même être provoqué par quelques déclics ?

Développer le goût de la lecture

Le goût de la lecture est lié au milieu social mais aussi à la place donnée au livre à la maison, à une attention sincère des parents pour l’univers de l’enfant et aux affinités personnelles avec les livres. Il y a une ambivalence des sentiments par rapport à la lecture. D’un côté l’on se demande pourquoi développer ce loisir. « Que gagne-t-on à maintenir ce passe-temps obsolète ? A l’heure du virtuel, du règne de l’image, est-il encore raisonnable de se pencher sur l’écrit ? Il n’est pas prouvé qu’à s’y pencher, justement on récolte davantage de bonnes notes à l’école que de problèmes de dos. La lecture, si lente, si laborieuse, ne représente-t-elle pas une perte de temps, un encouragement à la rêverie et à la langueur, ennemies de la productivité ?[14] » D’un autre côté, il y a toujours énormément de personnes qui pratiquent la lecture comme loisir et se plongent dans les écrits dans les transports en commun, les salles d’attentes… Cela montre que la lecture peut-être un réel plaisir, source d’épanouissement et d’évasion. « En me découvrant lectrice, je me découvrais électrice, le choix dépendait de moi, la relation que je nouais avec un livre était indépendante de toutes mes autres relations. Je sortais du cercle familial, du cercle amical, l'affectif n’était plus étouffant, il devenait la base de départ pour une aventure exotique, un partage inespéré, et plus magique qu’il n’y paraissait, avec des personnages d’un autre temps, d’un autre monde.[15] »

Cette ambivalence n’est-elle pas à penser comme une contradiction mais plutôt comme une complémentarité entre l’image et l’écrit ? La coexistence des cultures de l’oral, du visuel et de l’écrit permet à chacun de trouver ce qui lui convient le mieux. Dans ce sens, le développement du monde de l’image serait-il une opportunité pour ceux qui ne sont pas à l’aise avec l’écrit ?

Comment ?

Pour les familles familières à l’écrit, si l’on veut développer le goût de la lecture chez les enfants, plusieurs stratégies et moyens peuvent être utilisés :

  • Laisser trainer des livres dans la maison ;
  • Aller à la bibliothèque ou à la librairie en famille ;
  • Choisir des livres ensemble ;
  • Lui parler des lectures qui nous ont marqué ;
  • Lire des livres faciles à aimer, des livres qu’on aime et qui leur plairont ;
  • Faire de la lecture de chacun une discussion familiale, proposer des échanges à ce sujet ;
  • Proposer différents styles de livre pour aider l’enfant à faire ses choix et trouver ce qui lui plait ;
  • Faire de la lecture une activité interactive ;
  • Lire à voix haute ;
  • Inventer et écrire son histoire.

Pour tous, il est possible de profiter des animations offertes à la crèche, à la bibliothèque du quartier, à l’école maternelle pour accompagner son enfant dans la découverte du livre.

Pourquoi ?

Il semble judicieux de se poser la question « pourquoi voulons-nous développer le goût de la lecture chez nos enfants ? ». Il est clair que savoir lire est important mais aimer lire ne l’est pas tout autant. Est-ce pour nous ou pour lui que nous voulons qu’il prenne du plaisir à lire ?

Il est important de se demander aussi quelle importance nous accordons à la lecture loisir. « Jusqu’à quel point souhaitons-nous que nos enfants aiment les livres ? Pourront-ils les préférer à l’amitié, aux devoirs scolaires, aux jeux, aux balades en forêt, aux baignages en mer ? (…) Avant de leur reprocher de ne pas lire plus, demandons-nous si nous souhaitons qu’ils ne puissent plus se passer des livres. Car, il s’agit pour la plupart d’entre nous d’en faire de bons lecteurs pour l’école, des lecteurs sachant lire « utile » - pour apprendre et se « désennuyer » mais sans plus.[16] »

Conclusion

La communication, orale ou écrite, est essentielle dans notre société où les relations et l’écriture prennent une place considérable. Dans ce sens, parler, lire et écrire sont des actes fondamentaux pour devenir un adulte présent et actif dans notre société : penser par soi-même, réfléchir et échanger avec les autres, communiquer, accepter l’autre, trouver sa place, accéder aux informations, transmettre un savoir…

L’apprentissage de la lecture est donc un apprentissage primordial qui doit se faire de manière complémentaire à l’école et à la maison. L’école, ayant pour mission de faire réussir tous les enfants, a un rôle important à jouer dans l’épanouissement de l’enfant, par l’apprentissage de la lecture, en accompagnant les familles non familières du livre. L’école doit s’adapter à l’enfant et garder en tête que savoir lire n’implique pas d’y prendre du plaisir, même si le goût de la lecture motive la persévérance dans cet apprentissage.

Par la place donnée aux livres à l’école, mais aussi par une prise de conscience de l’intérêt de la lecture, une accessibilité des bibliothèques et une démocratisation du prix des livres, il faut permettre à tous de développer un itinéraire personnel de lecteur.

 

Alice Pierard

 


[1] Dans le rapport du Parlement de la Communauté Française sur la pauvreté infantile et juvénile en Fédération Wallonie-Bruxelles, disposer ou non de quelques livres adaptés à son âge est un des facteurs pris en compte pour calculer l’indice de pauvreté des enfants/jeunes. Lien : http://archive.pfwb.be/10000000202f033

[2] SAVOIE Isabelle, « Comment donner le gout de la lecture chez les jeunes ? », article du 23 novembre 2012.

[3] WADIER Henri, Un apprentissage heureux de la lecture, Editions Casterman, 1978, p. 143.

[4] BENTOLILA Alain, Le Verbe contre la barbarie, apprendre à nos enfants à vivre ensemble, Editions Odile Jacob, 2008, p. 65.

[5] Idem, p. 88.

[6] DREVON Simone et JENGER Yvette, Nous lirons demain…, collection pédagogie préscolaire, Editions Nathan, 1978, p. 37.

[7] Voir annexes.

[8] Voir annexes.

[9] BONNAFE Marie, Les livres, c’est bon pour les bébés, Editions Calmann-Lévy, 2001, p. 33.

[10] DELAHAIE Patricia, J’aime les livres avant 6 ans, Editions Marabout, 1995, p. 61.

[11] HOUSSONLOGE Dominique, L’apprentissage du français à l’école maternelle, un enjeu scolaire et social de taille, Analyse UFAPEC N°26.15, 2015, p. 8.

[12] PATTE Geneviève, Laissez-les lire !, Editions Gallimard Jeunesse, 2012, p. 30.

[13] MORET Dominique, Les stéréotypes dans la littérature enfantine, comment les reconnaitre dès la maternelle ?, Analyse UFAPEC N°27.10, 2010, p. 6.

[14] DESARTHE Agnès, « Pourquoi développer le goût de la lecture ? », intervention au colloque sur l'avenir du livre, organisé par Sophie Barluet pour le CNL, le 22 février 2007, p. 1.

[15] Idem, pp. 3-4.

[16] DELAHAIE Patricia, op cit, pp. 175-176.

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