Analyse UFAPEC mars 2015 par F. Baie

03.15/ Parler de ses origines : une manière d’impliquer les parents issus de l’immigration à l'école ?

Introduction

Dans certaines écoles, il est difficile d’attirer les parents. C’est le cas des écoles à encadrement différencié, mais également de certaines écoles qui drainent un large public d’origine étrangère parfois (mais pas toujours) précarisé. Certains parents belges issus de l’immigration ont, par leur culture, leur langue, la distance maison-école, leur peur, leur expérience de l’échec, leur perception qu’ils ont de l’école, plus de mal que d’autres à s’y sentir admis et acteur.

Nos activités en relation avec les associations de parents nous montrent la difficulté de faire venir certains parents aux réunions. Certaines écoles ont vraiment de la peine à dialoguer avec certains parents, elles pédalent souvent à ce sujet « dans la choucroute » ! Les idées ne manquent pourtant pas : aménagement des réunions le matin ou l’après-midi, café-rencontre ; souper multiculturel[1] avec invitation en plusieurs langues, informations sur les devoirs[2], expositions en tout genre…

La FAPEO[3]  a fait le même constat pour les écoles situées dans le centre de Bruxelles, dans ce qu’on appelle le croissant pauvre. «  Elles accueillent quasi exclusivement un public issu de l’immigration (deuxième ou troisième génération, primo-migrants ou réfugiés). Les origines sont très diverses : Afrique du Nord, Afrique subsaharienne, Europe de l’Est, Amérique du Sud, Asie… Chez certains parents, on sent le malaise vis-à-vis de l’école, comme s’ils n’y avaient pas leur place, comme s’ils étaient intimidés. A l’entrée de l’école, des parents baissent le regard quand ils y entrent, se pressent et repartent le plus vite possible… Parents intimidés par l’Institution, qui entrent et sortent le plus vite possible… surtout ne pas s’y arrêter… »[4]

Quant aux directions, bien conscientes de l’enjeu d’attirer ces parents à l’école et de susciter leur intérêt vis-à-vis de l’institution scolaire, elles cherchent en vain des solutions pour que ces parents farouches se rendent à l’école. Claire Hardy, directrice de l’Ecole fondamentale Saint-Lambert 2 d’Herstal (Liège)[5]explique : «  En tant que directrice, mon rôle est d’aller vers les parents, de tisser peu à peu une relation de confiance avec eux, dès la maternelle. Très souvent, ils sont en retrait. Ils ont peur d’être jugés. Il faut aller les chercher, leur expliquer les codes de l’école. Ils sont très soucieux de la réussite de leur enfant. Ils veulent être sûrs qu’on les fait travailler, pour qu’ils aient un bon diplôme et une vie meilleure que la leur. Quand la confiance est établie, ça rend les choses plus faciles pour les apprentissages. Tous les mercredis, nous organisons les « brins de causette », pour parler avec les parents de la santé des enfants, expliquer ce qu’est un jeu de société, etc. On les invite à venir jouer en classe avec les enfants. Nous filmons les apprentissages des élèves de maternelle, et nous projetons le film à la réunion de parents de septembre »[6].

Les directions d’école sont demandeuses de trouver des trucs et astuces pour faire venir les parents aux réunions. Elles aimeraient que les parents s’investissent dans les activités et la scolarité de leur enfant parce qu’elles savent que pour les enfants c’est important. Elles recherchent activement les spécificités qui provoquent les réticences des parents étrangers à son égard.

Altay Manço[7], explique certains des facteurs qui génèrent ces réticences : « L’expérience de certains enseignants montre que des familles issues de l’immigration ont, face à l’école, une attitude plutôt réservée et teintée de crainte. Des facteurs, tels que le manque de maîtrise des langues du pays d’accueil, un bas niveau de qualification scolaire et des priorités d’investissement psychologique et économique axées vers des valeurs autres que l’enseignement, expliquent cette situation»[8].

La culture de certains parents issus de l’immigration mettant l’école sur un piédestal en lui donnant une confiance absolue et l’image du « maître », de « l’autorité que représente l’école » peut certainement aussi en faire fuir plus d’un…

Le rapport de la Fondation Roi Baudouin nous montre que certains parents font une confiance aveugle à l’école : « Certaines familles semblent ne pas s’intéresser à l’école de leur enfant. Parfois, cet apparent désengagement est lié à la confiance totale par rapport à l’école vue comme l’unique pourvoyeuse d’éducation ».[9]Ce même rapport met également en exergue les difficultés de communication qu’il peut y avoir avec les familles d’origine étrangère car celles-ci ne maîtrisent pas toujours bien le français et craignent les quiproquos et malentendus: « L’institutrice demande aux enfants d’apporter une boîte à chaussures. Un papa demande ce que c’est, on le lui explique et le lendemain, l’enfant apporte une boîte avec des chaussures dedans. Les difficultés de communication, c’est parfois des choses aussi ‘bêtes’ que ça ! »[10].

Dominique Houssonloge dans une analyse[11]de l’UFAPEC explique que : « Vivre ensemble dans une école multiculturelle ne pourra pas se faire sans un partenariat école-famille fort. Dans ce but, faire une place aux familles, les valoriser en tant que véritables partenaires de l’école avec, malgré leurs différences culturelles, toutes les richesses qu’elles peuvent offrir sera un gage de réussite… Aider à l’intégration des élèves immigrés et de leur famille n’est pas simple mais exigeant. Cela passe aussi inévitablement par un travail sur nos propres représentations et une envie de découvrir et rencontrer des convictions et cultures différentes».

Un projet qui a pris « Racine»

En septembre 2012, un projet intitulé «Des  Racines pour Grandir » élaboré par l’association « CAP’TEN » et « l’ICHEC-PME » s’est tourné vers six écoles[12]situées dans le croissant pauvre de Bruxelles qui présentaient un haut taux de parents belges issus de l’immigration. L’objectif du projet était d’élaborer des activités pour et avec les enfants sur le thème des origines. Ce projet a pu permettre aux élèves de comprendre l’immigration,ses raisons, ses origines, d'enrichir les jeunes de leur diversité (ex :construire un arbre généalogique...). Le but étant aussi de faire découvrir aux enfants leurs racines, de valoriser leur histoire et celle de leur famille, de retourner sur les traces des générations précédentes, de retracer leur propre histoire et d’ainsi devenir des « passeurs » de l’histoire. Une vidéo retrace le projet et son objectif à merveille : « Découvrir que si nos arbres fleurissent sous le soleil de Belgique, nos racines plongent sous tous les continents est une formidable aventure personnelle et collective »…. «Les enfants prennent conscience que leurs racines sont leurs ailes, pour mieux prendre leur envol vers le futur! »[13]

Comment impliquer les parents à l’école ?

Pourrait-on s’inspirer d’un projet tel que celui-là pour impliquer les parents à l’école ? Ne pourrait-on pas inviter les associations de parents et les directions et les enseignants à exploiter ce thème afin de rallier les différents partenaires de l’école ? En entendant les propos de Vinciane Hanquet, enseignante pendant près de 30 ans, qui a mené ce projet dans ces écoles et qui leur a donné un soutien pédagogique, on croirait bien qu’il y a une piste à creuser là….car les familles sans vraiment le savoir officiellement étaient partie prenante du projet. « Les enfants avaient au moins une tâche à fournir tous les 15 jours en faisant des recherches dans leur famille. Ils devaient questionner leurs parents, leurs grands-parents, leurs arrière-grands-parents, ils devaient chercher des documents. Tout cela a donné aux familles l’occasion de délier les langues et de s’investir auprès de leurs enfants ».

Une maman marocaine explique que ce projet lui a donné l’opportunité de parler de son passé, de raconter l’histoire de sa famille avec tout ce qu’il y a de positif et avec tout ce qu’il y a de souffrance : « Honnêtement, on n’a jamais eu l’occasion de parler de tout cela… pourquoi on est arrivé en Belgique… Moi-même, j’ai demandé à mon père comment tout cela s’était passé…notre séjour en Allemagne, puis en Hollande, puis ici… ».

Les enfants ont réalisé une exposition avec leur histoire familiale et personnelle, leur arbre généalogique et tout ce qu’ils avaient trouvé concernant leurs racines. Les familles étaient invitées à collaborer, à participer, à donner des informations, mais aussi à visiter l’exposition de leur enfant au sein de l’école.

« Dans les familles où on ne parle pas beaucoup, dans des familles où la culture fait que l’on ne s’exprime moins sur certains sujets, les enfants ont dû vraiment ouvrir des portes… », précise encore Vinciane Hanquet.

Une jeune fille raconte qu’elle a appris que sa grand-mère était écrivain et qu’elle a créé une association qui lutte contre l’excision[14] des femmes.

Les enseignants semblent être satisfaits de l’opération : « On peut travailler sur 100 ans d’histoire (puisque que c’est 4 générations) et donc c’est l’occasion pour nous de travailler sur le programme scolaire et d’utiliser beaucoup de compétences (étudier des documents, rédiger des articles, apprendre à poser des questions…) ».

Myriam Loiret, institutrice à l’Ecole Sainte-Ursule à Molenbeek exprime son contentement :« Cette exposition sur les racines des enfants va être présentée aux parents et cela compte beaucoup ! »

D’autres enseignants s’étonnent parce qu’ils ont appris des choses nouvelles sur leurs élèves. Linda Yantour, institutrice à l’Institut Sainte-Marie Fraternité à Schaerbeek :« Mes propres parents ont immigrés. Je pensais donc que c’était les grands-parents de mes élèves qui avaient eux aussi immigrés. Or, pas du tout, j’ai beaucoup d’enfants dont les parents ont vécu l’immigration ». Elle ajoute :« Les parents viennent me trouver et m’explique pourquoi ils ont débarqués en Belgique. Cela établit une relation de confiance. Grâce à ce projet, maintenant, même des questions qui leur semblent bêtes, ils me les posent et ils se sentent rassurés ». Il est d’une importance aussi capitale pour l’enseignant de connaître le milieu familial de ses élèves et de tisser des liens de confiance.

Travailler sur les origines…

Anne Ancelin Schützenberger[15], fondatrice de la psychogénéalogie[16], affirme que nos destins sont marqués par ceux de nos ancêtres sur plusieurs générations. Grâce à son approche, elle a révolutionné la méthode analytique classique et éclairé quantité de vies en souffrance. Comprendre d’où l’on vient, parler avec sa famille de ses racines semble une clef importante pour l’identification identitaire de l’enfant. « Comment se forger une identité sereinement, si l'on ne connaît pas sa propre histoire, la vie de ses ancêtres, le lien entre son pays d’origine et le pays d’accueil de son aïeul qui a émigré des dizaines d’années auparavant »[17] explique la journaliste Odile Leherte dans un article ayant pour titre : « Je me suis senti belge quand j’ai enfin compris d’où je venais ».

Prudence et nuance

Pour le sociologue Benoît Falaize, qui a travaillé sur les écrits de Abdelmalek Sayad (sociologue, collaborateur de Pierre Bourdieu et directeur de recherche au CNRS), il convient d’être prudent quand on réalise de tels projets basés sur les origines:« Beaucoup de pratiques reposent, ou prennent appui, à un moment ou un autre, sur les familles des élèves présents dans la classe, pour évoquer l’histoire et les mémoires de l’immigration. Ces pratiques sont cependant l’objet de prudence, de craintes parfois, afin de ne pas heurter la part du privé qu’elles mobilisent. Dans les pratiques de classe, de l’école primaire à la Terminale, en cours d’histoire comme en Lettres ou en Sciences économiques et sociales, il est d’usage fréquent de demander aux élèves de dire leur « origine », « d’où ils viennent », leur « pays d’origine ». Cet usage est d’autant plus fréquent qu’il s’appuie sur la volonté de rendre compte d’une particularité que les enseignants souhaitent valoriser. Plus que cela, cette particularité devient objet d’enseignement. Dans certains cours, on enseigne l’histoire de l’immigration, et dans d’autres, et parfois dans les mêmes, s’opère une inversion de l’ordre scolaire, du rapport pédagogique, où ce n’est plus l’enseignant qui apprend aux élèves un contenu disciplinaire, mais bien l’élève qui apprend aux « autres » (les élèves de sa classe, l’enseignant…) une partie de son histoire de l’immigration. Les enseignants retournent le stigmate de l’élève (« issu de l’immigration », « maghrébin », « musulman », « immigré », « d’origine différente »…) pour valoriser la différence et la richesse que cette « origine » (comme par magie) était supposée lui octroyer. Il s’agit ni plus ni moins d’une déconsidération sociale reconsidérée scolairement, comme une réhabilitation symbolique. Comme on créerait une « stigmatisation positive » en quelque sorte »[18].

Benoît Falaize met pour ainsi dire en garde. A vouloir bien faire, on peut mal faire. Les enfants belges issus de l’immigration sont des Belges ni plus ni moins. A vouloir mettre trop en avant leur particularité et leur origine, on risque de stigmatiser ces enfants…

Certains dispositifs pédagogiques visant la valorisation des « cultures d’origine » risquent parfois d’engendrer une stigmatisation, de former des ghettos et des dérives « folklorisantes »[19].

« Cet « engouement culturaliste », qui trouve sa source dans une vision pseudo-généreuse du respect de la « diversité culturelle », est empreint de rapports post-coloniaux et contribue à la reproduction des rapports de domination en maintenant l’élève immigré dans une situation d’infériorité sociale »[20].

Conclusion

Nous l’avons vu, quel que soit le public de l’école, de bonnes relations parents-école sont indispensables pour que les enseignants puissent connaître le milieu familial de l’élève, pour que les familles puissent rencontrer les enseignants, comprennent les objectifs, les structures, les codes de l’école et pour tisser entre les partenaires de l’école une relation de confiance.

Or, notre expérience du terrain et nos contacts avec les écoles nous montre que dans certains établissements scolaires ces relations sont pauvres, voire inexistantes.

Les directions sont demandeuses d’une telle participation. Elles aimeraient disposer d’outils ou d’astuces pour attirer un certain public. Elles voudraient impliquer les parents à l’école et ouvrir un dialogue avec les familles belges d’origine étrangère parfois aussi précarisées. Les enjeux liés à ces souhaits sont de taille. Dans notre société individualiste, il s’agit là de créer un lien entre l’école et son environnement socio-économique, culturel et naturel. Il s’agit aussi de renforcer l’intégration, de créer une meilleure cohésion sociale et une valorisation de la diversité culturelle en mettant en avant les talents de tous, sans discrimination.

L’UFAPEC est soucieuse de soutenir l’exercice de la citoyenneté et de l’intégration de tous les parents à l’école. A ce titre, elle promeut une harmonieuse collaboration entre les familles et l’école. Pour ce faire, l’UFAPEC incite les parents à pousser la porte de l’école, à s’intéresser à ce que son enfant vit à l’école et à communiquer avec les enseignants.

Pour impliquer les parents, de nombreux projets existent déjà : café-rencontre, coin causette, vidéo des enfants présentée aux parents, souper multiculturel…

L’UFAPEC bien consciente de cette nécessité de trouver de nouveaux outils et d’aider les directions d’écoles à concrétiser leurs souhaits s’est penchée sur ce projet élaboré par l’association « CAP’TEN » et « l’ICHEC-PME » axé sur les origines des enfants.

Selon l’UFAPEC, ce type de projet pourrait ,en effet , être un outil intéressant pour amener les familles à parler de leur vécu, en participant activement au projet et en venant à l’école pour assister aux présentations des enfants.

Toutefois, des nuances doivent être apportées lorsque l’on mène ce type de projet basé sur les origines. En effet, trop rattacher quelqu’un à ses origines peut « enfermer » l’individu et être un obstacle à l’intégration. La plupart des parents belges issus de l’immigration sont des belges ni plus ni moins. Leur demander de raconter leur « histoire », leur « origine » pourrait avoir l’effet inverse et stigmatiser ces familles et leurs enfants. C’est en tous cas une question que nous devons peut-être nous poser…

Le but n’est pas non plus de se construire en opposition à la société dans laquelle on vit mais de mieux comprendre qui on est pour être pleinement membre de cette société plurielle. Etre belge, c’est aussi partager des valeurs de base (démocratie, liberté, égalité, respect de l’autre…) et ce n’est pas non plus lisser toutes les différences. En effet, on peut être citoyen d’un pays sans avoir la même histoire et la même relation que d’autres avec ce pays.

 

France Baie

 


[1]Animation à l’Ecole Sainte-Trinité – Cardinal Mercier II –Ixelles – Février 2014

[2]Animation à l’Institut Saint-Vincent de Paul –Forest –Novembre 2013 et Novembre 2014

[3]Fédération des Associations de Parents de l’Enseignement Officiel

[4]DE VILLERS J., « Des associations de parents dans toutes les écoles ? Analyse des motivations, difficultés et réponses apportées ». Etude FAPEO 2012 -http://www.fapeo.be/wp-content/Etudes/Etude_2012.pdf – lien vérifié le 5 février 2015

[5]Ecole en encadrement différencié comptant 250 élèves et 20 nationalités différentes dont beaucoup de primo-arrivants et d’enfants d’immigrés ou du quart-monde

[6]LOVENFOSSE M-N., Entrées Libres (SeGEC) : « Dossier : Ecole et précarité » Numéro 89, mai 2014, p 6. - http://www.entrees-libres.be/n89_pdf/dossier.pdf- lien vérifié le 10 février

[7]MANCO A., Docteur en psychologie, directeur scientifique de l'Institut de Recherche, Formation et Action sur les Migrations (IRFAM).

[8]MANCO A., « Stigmatisation des jeunes issus de l’immigration à l’école », Diversités et citoyennetés, La Lettre de l’IRFAM, n°19, 2009, http://www.transfaires.org/irfam/e-journal-irfam-n-19.pdf, p11.

[9]Fondation Roi Baudouin, « Ecoles maternelles et familles en situation de précarité » -« Ensemble pour accompagner l’enfant dans son parcours scolaire » - Janvier 2014 – p.25

[10]Idem.

[11]HOUSSONLOGE D.,Analyse 2011 : « Comment vivre ensemble à l'école, dans une société multiculturelle ? »-http://www.ufapec.be/nos-analyses/0211-multiculturalite/ - lien vérifié le 8 février 2015

[12]Ecole Sainte-Ursule à Molenbeek, Institut Saint-Louis à Bruxelles, Institut Sainte-Marie Fraternité à Schaerbeek, Joseph Delclef à Saint-Josse ont participé au projet CAP’TEN – Racines en 2012-1013

[14]http://www.excisionparlonsen.org/excision/ - lien vérifié le 10 mars 2015

[16]Le principe de cette méthode : découvrir les événements qui, chez nos aïeux, pourraient avoir une résonance avec nos propres problèmes.http://www.psychologies.com/Therapies/Developpement-personnel/Methodes/Articles-et-Dossiers/La-psychogenealogie#2- lien vérifié le 12 février 2015

[18]FALAIZE B., « Enseigner l’histoire de l’immigration à l’école » - http://ldh-toulon.net/Benoit-Falaize-enseigner-l.html- lien vérifié le 1é février 2015

[19]Folkloriser : transformer quelque chose, un groupe en objet de folklore, les rendre marginaux, anecdotiques. http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/folkloriser/34416-lien vérifié le 12 février 2015

[20]http://www.laviedesidees.fr/L-ecole-des-immigres.html- lien vérifié le 12 février 2015

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