04.15/ Transition primaire-secondaire dans l’enseignement spécialisé pour les élèves à besoins spécifiques : un frein ou une chance pour poursuivre leur projet de vie ?

Introduction

Quelles sont les choix pour le jeune lors de la transition primaire-secondaire? Ceux-ci sont-ils pensés au service du bien-être, de l’insertion sociale et de la réussite scolaire de l’élève ? De son projet de vie ?

Quelles sont les informations données aux parents lors de cette transition ? Par qui ?

Comment ce passage est-il préparé à l’école et avec les parents ? Quels sont les moyens mis en œuvre pour soutenir une transition de qualité ?

Plusieurs possibilités sont envisageables lors de cette transition[1], nous nous centrerons ici sur le parcours des élèves qui restent dans l’enseignement spécialisé.

La transition entre l’enseignement primaire et l’enseignement secondaire est une étape importante dans la vie de l’élève. Ce changement d’école, non seulement de lieu, mais aussi d’organisation, de grandeur de l’établissement, du nombre d’enseignants, de relation aux enseignants, de camarades de classe, peut être source de questionnements et d’inquiétudes, surtout quand il s’agit d’élèves à besoins spécifiques. Il leur a déjà parfois fallu un temps d’adaptation plus long dans leur école primaire et ils doivent dès lors se réadapter, découvrir un nouveau fonctionnement, faire de nouvelles rencontres dans une école du niveau secondaire. De plus, le choix de l’école (option, forme d’enseignement, projet pédagogique…) aura un impact sur les possibilités qui s’ouvriront au jeune à la fin de sa scolarité. Effectivement, des questions se posent, pour le jeune et ses parents, entre autres concernant son projet de vie et les possibilités qui s’offrent à lui en tenant compte de ses besoins spécifiques.

Un moment de réflexion

Lors du passage en secondaire d’un élève à besoins spécifiques, diverses questions se posent : Quel parcours serait le plus bénéfique pour le jeune, en tenant compte de ses capacités, de son potentiel et de ses besoins spécifiques ? Qu’est ce qu’on imagine pour sa vie adulte ? Laisser le jeune dans l’enseignement spécialisé, c’est le cloisonner ou lui donner la chance de bénéficier d’un enseignement adapté ? Vers quelle forme de l’enseignement secondaire spécialisé le diriger ?

L’idée est de penser la transition dans une optique de continuité de l’expérience éducative et de poursuite du développement personnel, tout en ayant en tête que ce choix a un impact important sur les possibilités du jeune lors du passage à la vie adulte : études supérieures, travail, insertion sociale... Dans ce sens, bénéficier d’un enseignement spécialisé, c’est profiter d’un encadrement approprié et d’une prise en compte des besoins spécifiques durant tout le temps scolaire.

Le passage vers le secondaire spécialisé

Une grande partie des élèves à besoins spécifiques reste dans l’enseignement spécialisé lors de la transition du primaire au secondaire.

·        Les formes d’enseignement

Il existe quatre formes différentes d’enseignement dans le spécialisé au niveau secondaire :

-          La forme 1 vise l’intégration sociale du jeune dans un milieu de vie adapté (par exemple dans des centres de jour ou d’hébergement).

-          La forme 2 s’attache à préparer le jeune à une activité professionnelle en milieu adapté (dans des Entreprises de Travail Adapté).

-          La forme 3 a pour objectif de donner une formation générale, sociale et professionnelle en vue de l’intégration en milieu de vie et professionnel ordinaire.

-          La forme 4 a pour objectif de préparer le jeune à la vie active et de lui permettre d’envisager des études supérieures.

Pour les élèves relevant du type 1, la forme 3 est la seule organisée. Pour les élèves relevant du type 2, il y a le choix entre la forme 1 et la forme 2. Au sein des autres types, les quatre formes sont proposées.

Pour l’année scolaire 2012-2013[2], les élèves inscrits dans l’enseignement secondaire spécialisé étaient répartis de la manière suivante.

 

 

Forme 1

 

Forme 2

Forme 3

Forme 4

Total

Type 1

 

 

8678

 

8678

Type 2

960

2310

 

 

3270

Type 3

106

421

2322

240

3089

Type 4

270

233

149

146

198

Type 5

 

 

 

447

447

Type 6

7

38

51

41

137

Type 7

22

41

176

131

370

Total

1365

3043

11376

1005

16789

 

C’est dans le type 1 forme 3, le type 2 forme 2 et le type 3 forme 3 qu’on retrouve le plus grand nombre d’élèves. Dans l’ensemble des types, la forme 3 rassemble 67,7% des élèves du secondaire spécialisé. Cela traduirait un désir d’intégration sociale et professionnelle future de la part des jeunes et de leurs parents

·        Le choix de la forme et d’un établissement

Vu les objectifs de chacune des quatre formes de l’enseignement spécialisé secondaire, il faut choisir celle la plus appropriée à l’élève selon son projet de vie, mais aussi en tenant compte de ses besoins spécifiques, ses compétences, ses capacités, et son potentiel. Mais peut-on définir un projet de vie à 13 ans ? Le jeune sait-il à cet-âge ce qu’il souhaite pour son futur ? Peut-on être sûr, en tant que parent ou enseignant, de son évolution ? Selon le choix fait, ne risque-t-on pas de le tirer vers le haut ou vers le bas ? Ces questions sont importantes et peuvent être sujet de réflexion entre les parents, l’équipe éducative et le Centre Psycho-Médico-Social (PMS).

A ce sujet, voici un extrait du témoignage de la maman de Ludovic, élève ayant des troubles envahissants du développement[3] : « Ludovic est en année d’observation (pour voir vers quelle forme d’enseignement le diriger : forme 3, forme 2, classe TEACCH) dans une école secondaire spécialisée de type 3. Je suis un peu déçue car cela ne se passe pas le mieux possible en classe. Il ne s’intègre pas bien, son comportement n’est pas toujours facile à gérer et donc cela ne suit pas au niveau scolaire… J’espère que cela va aller mieux selon la forme choisie pour la suite de son parcours. »

On peut comprendre le pourcentage d’inscrits dans la forme 3 comme le souhait de permettre à ces jeunes d’intégrer un milieu professionnel ordinaire à la fin de leur scolarité en leur donnant accès à un encadrement scolaire adapté à leurs besoins spécifiques.

A ces réflexions concernant le choix de la forme d’enseignement, s’ajoutent les difficultés du choix d’un établissement scolaire vu la dispersion des écoles d’enseignement spécialisé en Communauté Française et le manque d’offre selon les types et les formes. Comme l’explique la maman de Ludovic, il faut aussi penser au trajet où à la possibilité d’avoir une place dans un centre résidentiel ou un internat à proximité de l’école : « J'ai parfois renoncé à visiter des écoles vu la saturation des SRJ malgré que les écoles présentaient des atouts intéressants. »

Concernant le choix d’établissement, la maman de Laura, élève ayant des troubles associés[4], témoigne de la facilité avec laquelle ils ont opté avec le papa pour l’école dans laquelle leur fille est maintenant inscrite : «  Le choix de l'école n'a pas été cornélien car avec son papa, nous avions une préférence pour l’école relevant de l’enseignement de type 4 et proposant la forme 4 : plus petite structure, cours de base plus importants que dans l’autre école, relevant du type 1 et proposant la forme 3, où les différents ateliers sont plus prépondérants et le port de son corset n'allait pas faciliter la tâche. De plus, notre fille y a fait un essai et s’y est sentie à son aise. Et nous voulions que Laura consolide ses acquis et puisse apprendre un maximum de la "théorie", quitte à, peut-être plus tard si une limite s'imposait, revenir vers une structure où l'activité sociale et d'intégration dans la vie active se serait imposée. Nous sommes ravis de notre choix. Le respect, les valeurs, la dynamique de l'école rencontrent nos souhaits. Laura y est bien, ce qui est primordial, et elle évolue bien. »

·        La transmission du PIA

Outil spécifique de l’enseignement spécialisé, le Plan Individuel d’Apprentissage (PIA)[5], suit l’élève à besoins spécifiques durant toute sa scolarité. Il permet la mise en projet et la fixation d’objectifs selon les envies, les besoins et les capacités de l’élève. Dans ce sens, il est donc utilisé en conseil de classe et lors de rencontres avec les parents.

« Le Plan Individuel d’Apprentissage d’un élève reste dans son école d’origine jusqu’à ce que le chef d’établissement de la nouvelle école le réclame. Le Plan Individuel d’Apprentissage devra être transmis conjointement avec les documents légaux justifiant l’inscription de l’élève et comprendra l’entièreté des objectifs, des actions et des résultats. Le plan individuel d’apprentissage peut éventuellement être accompagné d’une synthèse. Il pourra être complété par des informations pertinentes qui influencent la suite de la scolarité»[6].

Il est important, pour le continuum pédagogique et l’évolution du projet personnel du jeune, que son PIA le suive lors de cette transition. Les informations présentes dans le PIA pourront servir de base pour prolonger le plan tout au long de sa scolarité secondaire et élaborer son Plan Individuel de Transition (PIT)[7].

·        La continuité dans les apprentissages scolaires

Le continuum pédagogique vise la continuité des apprentissages tout au long du parcours scolaire, en particulier lors des moments charnières. Mais comment assurer ce continuum ? La transmission du PIA est-elle suffisante concernant la communication entre écoles primaire et secondaire ? Ne faudrait-il pas, en plus de cette obligation, élaborer des processus de partenariat pédagogique formels et informels ? La maman de Ludovic fait part d’un manque et d’un désir d’une meilleure communication entre écoles : « Je regrette que les écoles primaire et secondaire ne se soient pas mises en contact pour le passage d'informations concernant Ludovic (niveau scolaire, personnalité, comportement) ce qui me parait primordial en type 3. »

·        La spécificité des élèves de l’enseignement spécialisé de type 8[8]

Le type 8, destiné aux élèves présentant des troubles instrumentaux (perception, motricité, langage, mémoire) et des troubles d’apprentissage, n’existe qu’au niveau primaire de notre enseignement. Comment la transition primaire secondaire se passe-t-elle pour ces élèves ? Peuvent-ils bénéficier d’un accompagnement pour aider leur passage au niveau secondaire dans l’enseignement ordinaire ? S’ils restent dans l’enseignement spécialisé, comment cela se passe ? Vers quel type sont-ils redirigés ?

Pour les élèves qui ont toujours besoin de la structure spécifique de l’enseignement spécialisé, dans ses établissements ou pour un accompagnement en intégration, ceux-ci sont majoritairement réorientés vers l’enseignement spécialisé de type 1 (destiné aux élèves présentant un retard mental léger). Ce n’est pas l’idéal pour des élèves ayant des troubles d’apprentissages d’être lors du passage dans l’enseignement secondaire qualifiés d’élèves « présentant un retard mental léger » ou d’élèves « présentant des troubles du comportement et/ou de la personnalité » pour ceux qui passent dans l’enseignement spécialisé de type 3, deuxième voie la plus courante.

Sur les 558 élèves provenant du type 8 et entrés en secondaire spécialisé en septembre 2007, leur position scolaire en 2012-2013 est la suivante :

-          51% en type 1 forme 3 (formation professionnelle)

-          7% en type 3 forme 3

-          1% dans une autre forme du type 3

-          5% dans un autre type de l’enseignement spécialisé[9]

-          1% en 5ème professionnelle en secondaire ordinaire

-          3% au deuxième degré du secondaire ordinaire professionnel

-          4% dans l’enseignement en alternance (CEFA)

-          28% hors de l’enseignement obligatoire[10]

Cette situation n’est pas acceptable. Les élèves présentant des troubles d’apprentissages n’ont pas tout d’un coup un retard mental léger lors de la transition dans l’enseignement secondaire simplement parce qu’il n’y a pas d’enseignement adapté à leurs besoins. De plus, un trop grand pourcentage est déscolarisé. C’est pourquoi l’UFAPEC demande la création administrative d’un type 8 au 1er degré du secondaire pour aider la transition et permettre un suivi en intégration sans devoir être réorienté vers un autre type de l’enseignement spécialisé. « Si l’UFAPEC souhaite cela, c’est pour assurer le suivi des élèves qui étaient dans le type 8 en primaire et bénéficieraient ainsi des modalités de l’intégration dans l’enseignement ordinaire (ils ne seraient plus obligés de s’inscrire dans le type 1 ou le type 3, ce qui ne leur correspond pas, pour en jouir). En effet, un élève en intégration a droit à la présence et au soutien de l’enseignant du spécialisé pendant 4 heures. Quand on est « dys », on le reste toute sa vie. Il faut donc permettre aux « dys » de bénéficier des outils nécessaires pour faire face à leurs besoins spécifiques tout au long de leur scolarité.[11] »

Une transition de qualité ?

La transition doit être préparée entre acteurs scolaires, en impliquant le jeune car elle se définit « comme une période de temps pendant laquelle l’enfant s’ajuste graduellement à son nouvel environnement physique, social et humain. Une transition scolaire de qualité désigne une transition harmonieuse pour l’adolescent ou l’adolescente, sa famille et les adultes qui l’entourent. Elle signifie un ajustement mutuel des différents milieux pour favoriser la réussite de l’adolescent en tenant compte des facteurs scolaires, individuels, familiaux, sociaux et culturels.[12] » Auprès des parents et de l’équipe éducative, le Centre PMS a sa place et des compétences dans la réflexion menée concernant la transition : conseils de classe, rencontres avec les parents, réponses aux questions… « Lorsque les élèves de l’enseignement spécialisé ont 12-14 ans, plusieurs orientations sont possibles. (…) ils rencontrent tous le PMS. C’est ce dernier qui rend un avis (…). Cet avis motivé n’est pas contraignant, les parents restent responsables de l’orientation scolaire de leur enfant.[13] » Tout comme pour le choix d’une école ou l’orientation dans l’enseignement spécialisé, les parents restent maîtres de la décision finale.

Dans une précédente analyse, l’UFAPEC par la plume de Michaël Lontie soutenait que « l’étape acquise permet d’accéder à la marche suivante et qu’au bout de l’escalier se trouve la clé de son bonheur : la réalisation de soi, la connaissance de ses capacités et de ses difficultés, l’épanouissement personnel, le luxe de faire ce qui lui plaît parce qu’il a œuvré sans relâche pour y parvenir, pas à pas ?[14] » Dans ce sens, la transition primaire-secondaire se doit de tenir compte du profil du jeune et de l’aider à construire son projet de vie.

Les principes devant guider une transition de qualité sont : la reconnaissance des parents comme premiers responsables de l’éducation du jeune, le partage de la responsabilité de la qualité de la transition entre acteurs éducatifs, l’organisation d’activités de transition, la mise en place des ressources nécessaires, la mise à contribution de toutes les personnes participant à l’éducation du jeune, la personnalisation des pratiques de transition et la reconnaissance de l’importance de l’entrée au secondaire pour le continuum pédagogique et la réussite scolaire du jeune.[15]

Selon l’UFAPEC, une transition de qualité implique les différents partenaires (école primaire, école secondaire, parents, Centre PMS) dans une optique de collaboration pour répondre aux besoins de l’enfant et permettre de construire ensemble, à ses côtés, son projet de vie en tenant compte de ses compétences, en maintenant des attitudes positives envers l’école et en suivant les principes énoncés ci-dessus.

Les témoignages recueillis démontrent une diversité dans l’implication des écoles primaires et Centres PMS auprès des parents dans la recherche d’une école secondaire. La maman de Ludovic a été peu soutenue dans ses recherches : « J'ai dû faire les recherches d'écoles secondaires entièrement par moi-même, n'ayant eu que quelques noms d'écoles par l’école primaire de Ludovic et le Centre PMS sans plus d'information à leur sujet. ». De son côté, la maman de Laura a été bien accompagnée : « Laura a passé dans sa dernière année primaire un test établi par le Centre PMS. Suite à cela, nous avons été amenés à rencontrer une professionnelle du Centre PMS afin de connaître leur proposition quant au choix des écoles spécialisées secondaires qui pourraient accueillir Laura. Les discussions avec l’école primaire et le Centre PMS se sont déroulées dans la plus grande sérénité et le respect. ».

Conclusion

La transition entre le primaire et le secondaire est une période importante de la scolarisation, une période d’adaptation intense. Il faut la penser en étant guidé par différents principes essentiels dans la scolarité des jeunes, à besoins spécifiques ou non.

Face aux besoins spécifiques des élèves de l’enseignement spécialisé, il est essentiel de prendre en compte et valoriser les différences dans une optique d’éducation inclusive s’adaptant aux besoins de chacun, valorisant l’image de soi et tirant les élèves vers le haut. Le diplôme étant déterminant dans l’avenir professionnel du jeune, permettons à ces jeunes d’avoir un diplôme le plus élevé possible en tenant compte des capacités, des compétences et des difficultés propres à chaque jeune.C’est là que l’enseignement spécialisé est une chance car il peut permettre l’obtention d’un diplôme équivalent à ceux de l’ordinaire (pour les formes 3 et 4) tout en proposant à ces élèves un encadrement adapté, prenant en compte leurs difficultés.

En matière de transition primaire-secondaire, l’UFAPEC demande un décloisonnement, une amélioration de la communication dans les deux sens pour favoriser ce passage et l’adaptation. De plus, face à l’offre actuelle, il n’est pas toujours facile pour les parents de trouver l’école adéquate. Il faudrait donc une amélioration de l’offre.

C’est pourquoi l’UFAPEC soutient les demandes suivantes :

-          « Alléger la lourdeur des partenariats pédagogiques pour permettre de réels décloisonnements entre écoles primaires et secondaires ; améliorer ainsi la communication dans les deux sens.[16] »

-          « Adapter la typologie et les formes de l’enseignement secondaire, au service des apprentissages[17] »

-          « Continuer l’ouverture de nouvelles implantations répondant à la demande, en gardant à l’esprit les problèmes de mobilité et le risque d’inscription d’un enfant dans une forme d’enseignement qui ne lui convient pas pour des difficultés d’ordre pratique ou géographique (avec toutes les conséquences que cela induit).[18] »

-           « Encourager toutes les initiatives qui permettraient aux acteurs du primaire et du secondaire de se rencontrer et de rendre possible le passage de l’un à l’autre le moins déstructurant possible ainsi qu’une meilleure attention des particularités et besoins spécifiques de l’enfant.[19] »



[1]Un passage ou retour dans l’enseignement ordinaire, un suivi en intégration dans l’enseignement ordinaire ou un passage vers le secondaire spécialisé.

[2]Ces informations proviennent des indicateurs de l’enseignement de 2014. Indicateur 8 : publics de l’enseignement spécialisé : types, niveaux et intégration, pp 26-27.

[3]Vous pourrez trouver le témoignage complet de cette maman en annexe.

[4]Vous pourrez trouver le témoignage complet de cette maman en annexe.

[5]Pour plus d’informations sur le PIA, voir Pierard A., Le Plan Individuel d’Apprentissage de l’élève et ses enjeux, Analyse UFAPEC N°11.12 ? 2012.

[6]Communauté française, Circulaire 3804, circulaire relative aux modalités de transmission du Plan Individuel d’Apprentissage (PIA) du 28 novembre 2011.

[7]Pour plus d’informations sur le PIT, voir Pierard A., Le Plan Individuel de Transition : de la théorie à la pratique dans l’enseignement spécialisé, Analyse UFAPEC N°32.14, 2014.

[8]Pour plus d’information à ce sujet, lire Pierard A, Passage des élèves du primaire type 8 de l’enseignement spécialisé vers le secondaire, Analyse UFAPEC N°01.13, 2013.

[9]Témoignage en annexe d’une transition du type 8 vers le type 4 forme 4.

[10]Ces informations proviennent des indicateurs de l’enseignement de 2014. Indicateur 16 : flux entre enseignement ordinaire et spécialisé dans l’enseignement de type 8, pp 42-43.

[11]UFAPEC, Mémorandum 2014, pp 16-17.

[12]Jean C. (sous la coord. de), Guide pour soutenir une transition scolaire de qualité vers le secondaire, publication du Ministère de l’Education, du Loisir et du Sport du Québec, 2012, p 3.

[13]D’Hondt D., « Un passage très spécial », in Traces de Changements, revue du mouvement sociopédagogique Changements pour l’Egalité, n°215, mars avril 2014, p 7.

[14]Lontie M., La continuité pédagogique dans un parcours morcelé, Analyse UFAPEC N°24.14, 2014, p 4.

[15]Jean C. (sous la coord. de), op cit., pp 8-13.

[16]UFAPEC, Mémorandum 2014, p 9.

[17]Idem, p 17.

[18]Idem, p 18.

[19]Idem,p 19.

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