Analyse UFAPEC juin 2019 par F. Baie

08.19/ Utiliser son vélo pour aller à l'école : une pratique (éco)citoyenne ?

Introduction

A l’heure où les jeunes se mobilisent pour sauver notre planète et le climat[1], il nous semble intéressant de nous questionner sur les moyens de déplacement des élèves vers leur école et en particulier sur l’utilisation du vélo. Plusieurs enquêtes ont été réalisées afin de connaître les habitudes des jeunes wallons, bruxellois et belges en ce qui concerne leurs déplacements et leur mobilité. Il nous semble intéressant de vous livrer ces résultats. Les jeunes sont-ils prêts à enfourcher leur bécane pour se rendre à vélo à l’école ? Qu’est-ce qui peut freiner ce choix ? En quoi cette utilisation peut-elle être, outre un moyen de locomotion non polluant, une véritable pratique citoyenne et écocitoyenne ?

Quelques chiffres

Dans une précédente analyse, ayant pour titre La mobilité douce (marche) sur le chemin de l’école est-elle encore possible ? [2], nous avions fait référence à des enquêtes qui ont été menées, en Wallonie, de 2003 à 2010[3], par la Direction de la Planification de la Mobilité du Service Public de Wallonie (DGO2) auprès des jeunes de l’enseignement fondamental et secondaire afin de connaître leurs habitudes de déplacement sur le trajet domicile-école. Près de 78.000 élèves ont, en effet, été interrogés dans 65 communes situées en Wallonie. En 2010, un bilan général et global de ces enquêtes avait été dressé[4]. Nous avions relevé à l’époque quelques constats importants qui figuraient dans ce bilan global et qui sont toujours aussi significatifs pour l’analyse qui nous préoccupe actuellement sur les déplacements des élèves à vélo :

  • En Wallonie, « La voiture reste le moyen de déplacement prédominant pour effectuer les trajets domicile-école (57 %, tous types d’enseignements confondus) »[5].
  • « Les enquêtes révèlent que dans l’enseignement fondamental, la majorité des élèves, soit 74 %, sont conduits en voiture à l’école »[6].
  • En ce qui concerne les élèves du secondaire, l‘utilisation de la voiture est également majoritaire, mais dans une moindre importance. En effet, il n’y a plus que 42 % des élèves qui utilisent la voiture.

Cette différence entre le fondamental et le secondaire pour l’utilisation de la voiture s’explique : les élèves en secondaire sont plus autonomes et utilisent donc plus les transports en commun (37 % des déplacements), avec une part bien plus élevée pour le bus (30 %) que pour le train (7 %). Néanmoins, « la marche à pied occupe encore une place importante, avec 14 %. Le vélo est dans une bien mauvaise position et représente moins de 1 % des déplacements… [7]

1 % des déplacements, ce taux est parlant ! Pourquoi un si modeste engouement pour le vélo ? En Wallonie, les élèves du secondaire ne semblent pas forts enclins à utiliser leurs vélos. Le frein principal indiqué est le danger, suivi par les conditions climatiques et le manque d’aménagements[8]. Ne faut-il pas aussi s’interroger sur la peur et les appréhensions des parents à voir partir leurs enfants (parfois seuls) sur les routes ?

Sur le site de Bruxelles-mobilité[9], on s’inquiète également de cette faible utilisation du vélo : le vélo est souvent oublié comme mode de déplacement pour se rendre à l’école, mais sans raison ! De nombreux élèves du primaire habitent à moins de 5 kilomètres de leur école, une distance parfaite pour pédaler. L’enfant arrive en forme à l’école et est bien éveillé pour une journée d’acquisition de savoirs et de compétences.

Pour en savoir plus au niveau des déplacements domicile-école, nous avons interrogé[10] la cellule Communication de Bruxelles-Mobilité. Voici ce qu’elle nous a répondu : Dans le cadre des prédiagnostics de mobilité scolaire en RBC[11] de décembre 2016, nous observons 2 % des déplacements à vélo en moyenne pour l’ensemble des établissements scolaires y ayant répondu (tant pour les maternelles, primaires et les secondaires). En ce qui concerne les écoles en Plan de Déplacements Scolaires, nous serions à un peu plus (…) Par contre, il y a également de plus en plus d’écoles à Bruxelles qui utilisent aussi le vélo pour se rendre à leurs activités scolaires (piscine…), ce que nous encourageons.

Au cours de l’année 2018, l’asbl Pro Velo en charge de l'Observatoire bruxellois du vélo a effectué récemment 101 heures de comptage sur Bruxelles et vient de publier, en février 2019, son rapport 2018. Il s’avère qu’en 2018, 63,05 % des cyclistes observés lors des comptages sont des hommes, 34,97 % sont des femmes et 1,98 % sont des enfants[12] Même si, en comparaison avec 2017, l'année 2018 fait apparaître une sensible augmentation du nombre de cyclistes à Bruxelles (+16 %), la proportion d’enfants ne semble pas connaitre d’évolution significative ces dix dernières années.

Cependant une autre grande enquête[13], menée par le SPF Mobilité et Transports et l’institut Vias, menée auprès de 10.632 Belges via un questionnaire online et visant à mieux connaître les habitudes de mobilité des Belges nous donne des résultats plus encourageants : Les déplacements scolaires sont les seuls pour lesquels la combinaison des déplacements à pieds et en vélo (40 %) surpasse l’utilisation de la voiture (35 %). En dehors de ce motif, la voiture reste le mode le plus utilisé, mais à des degrés divers [14].

Graphique1[15] : parts modales en fonction des motifs principaux des déplacements

Ces chiffres sont plus encourageants, car ils concernent les élèves belges sur les trois régions de notre pays. Il nous semble important de mettre en évidence que les habitudes de mobilité présentent des différences marquées entre les trois régions.

Graphique 2[16] : modes de déplacement selon la région du domicile

Le Wallon recourt davantage à sa voiture que le Flamand et cela au détriment du vélo (voir carte). L’utilisation des transports en commun est également légèrement plus importante au Sud du pays. Les Bruxellois ont quant à eux une mobilité bien différente, due au caractère exclusivement urbain de leur région. Ils utilisent une alternative à la voiture plus d’une fois sur deux, le plus souvent la marche ou les transports en commun. (métro, tram, bus)[17].

Comment expliquer cette telle différence entre les moyens de déplacement des wallons et des flamands ? Avez-vous déjà constaté en traversant le pays à quel point la proportion des pistes cyclables et les aménagements pour les vélos sont totalement différents ? Est-ce une question de culture, une question socio-économique, une question de priorités politiques ? Peut-on espérer à l’avenir qu’il y ait aussi en Wallonie et à Bruxelles davantage d’aménagements pour susciter l’envie de se déplacer à vélo ? La santé des citoyens et les enjeux écologiques qui sont liés aux déplacements ne doivent-ils pas être repenser de manière urgente ?  

Mobilité choisie et réfléchie ?

Au regard de ces chiffres et de ces graphiques, il semble qu’il y ait encore du travail à faire en ce qui concerne la mobilité de nos enfants sur le chemin de l’école. Les jeunes sont-ils tous conscients des enjeux de cette mobilité sur notre environnement et notre climat ? Et surtout, y a-t-il assez de pistes cyclables et d’aménagements « sécurisés » pour inciter les jeunes à prendre leur vélo pour effectuer leurs déplacements vers l’école et rassurer également les parents ? Favoriser et encourager les déplacements des élèves à vélo n’est-il pas aujourd’hui un important défi de société ?

Les défis et enjeux liés à la mobilité sont importants et complexes. C’est une thématique qui nous touche, tous, au quotidien. Si vous fréquentez les abords d’écoles aux heures d’entrée et de sortie des classes, la mobilité s’apparente souvent à une jungle. Mais ce n’est pas une fatalité. Il est possible de changer les choses, de rendre les abords et les chemins vers l’école plus sûrs et plus conviviaux. Il est également possible de donner aux jeunes générations les clés d’une mobilité choisie et réfléchie[18].

Le jeune qui décide d’adopter un comportement citoyen et écocitoyen doit semble-t-il se poser la question de ses déplacements et de sa mobilité. Comment puis-je au maximum éviter d’utiliser la voiture ? Comment puis-je faire pour moins polluer ? Quelle alternative puis-je avoir par rapport à cette utilisation excessive de la voiture ? Puis-je plutôt covoiturer, faire du stop, utiliser les transports en commun, marcher, utiliser une trottinette, mes rollers, ou mon vélo ?

Certaines asbl effectuent un travail de fond et de terrain pour faire réfléchir les élèves sur leur mobilité. C’est le cas de l’asbl Empreintes que nous avons interrogée[19] : A travers ses activités « Mobilité », notre asbl mobilise les élèves et les enseignants autour de la question de la mobilité et plus précisément de l’utilisation des moyens de transport doux, alternatifs à la voiture individuelle. Nos activités permettent aux élèves d’être davantage en mesure de faire des choix réfléchis, responsables, adaptés à chaque situation et de prendre part à une action citoyenne en termes de mobilité. Plus globalement, les activités que nous proposons permettent aux enfants d’agir de manière éco-responsable et de poser progressivement des choix pour bâtir une société davantage en équilibre avec leur environnement; d’approcher d’une manière différente la question du bien-être et de la satisfaction des besoins que celle promue par la société de consommation ; de se reconnecter à la nature pour mieux prendre en compte l’effet de l’activité humaine sur le cadre de vie et pour favoriser leur bien-être physique et psychique ; de donner du sens aux apprentissages en les liant avec la réalité, explique Julie Allard, responsable du département animation de l’asbl.

L’asbl Pro Velo, elle aussi, offre une multitude de services pour favoriser l’usage du vélo dans les meilleures conditions de sécurité et de confort. Pro Velo organise des stages, des animations et des formations, du coaching à destination des écoles et incite les enfants à réfléchir à leur mobilité. De nombreuses écoles font appel à Pro Velo pour organiser le brevet du cycliste. Le brevet du cycliste offre aux jeunes la perspective de devenir acteurs de leur mobilité. Encadrés par leurs enseignants et/ou les formateurs de Pro Velo, les élèves de 5e (et 6e) primaire apprennent, dans leur environnement immédiat (proche de leur école), les bases de la conduite à vélo en sécurité et en autonomie[20].

Adopter des comportements citoyens et écocitoyens dans nos écoles

Le vélo est plus qu’un simple moyen de transport écologique. A l’école fondamentale Saint-Joseph-aux-champs à Grez-Doiceau, Marie[21], institutrice en 3e-4e primaire, nous explique en quoi le vélo peut devenir un support pour apprendre aux enfants à développer des comportements (éco)citoyens : Chaque année, l’asbl Pro Vélo vient faire des animations avec les enfants pour apprendre les règles de sécurité pour rouler à vélo, mais aussi les inciter à venir à l’école à vélo. Notre école est très sensibilisée au déplacements maison-école et à la mobilité douce. Personnellement, je viens également à l’école à vélo. De nombreux parents se sentent impliqués et accompagnent leurs jeunes enfants pour se rendre à l’école à vélo. Avant on utilisait un bus pour nous rendre au hall sportif, maintenant nous y allons tous à vélo ! Le vélo est un excellent moyen pour apprendre aux enfants à devenir écocitoyens, à respecter la nature et à être responsables de nos actes, mais aussi à devenir citoyens en développant l’entraide et la collaboration entre les enfants.

Faire des actions basées sur le vélo et sensibiliser les enfants à leurs déplacements semble être plus facile à mettre en place dans des régions rurales où les écoles ne se trouvent pas trop éloignées du lieu d’habitation de l’élève. Malheureusement, de nombreuses pistes cyclables et aménagements sécurisés manquent encore dans ces régions. Et dans les grandes villes, qu’en est-il ? Avec des élèves issus de milieux sociaux plus modestes, qu’en est-il également ? Le vélo peut-il être un moyen pour rendre les élèves plus (éco)citoyens dans toutes les écoles ?

Pour le savoir, nous avons interrogé Pascal Laforge, professeur d’éducation physique, initiateur du « défi vélo », à l’Institut Saint-Joseph à Etterbeek. Cette école accueille environ 700 élèves recevant une formation générale, technique ou professionnelle dans les secteurs variés (industriels, construction, sciences sociales).


Pourquoi avoir réalisé un projet lié au vélo au sein de votre école ?

J’avais envie de trouver un moyen original pour travailler la solidarité, la citoyenneté, l’esprit d’équipe au niveau des élèves et le vélo m’est venu à l’esprit comme une évidence. Dans notre école, les élèves n’ont pas l’habitude de rouler à vélo. Ils n’ont pas la culture du vélo et n’ont pas de vélo chez eux. Ils doivent emprunter les vélos de l’école que nous mettons à leur disposition. On a commencé à faire des petites sorties à vélo avec une vingtaine de vélos pour apprendre aux élèves à rouler à vélo, à manipuler son vélo, à connaître le code de la route, la sécurité et à respecter les autres usagers de la route. On restait souvent dans le quartier et on touchait seulement les classes du premier degré. Ensuite, on s’est dit que l’on pourrait aller plus loin, que ce projet pouvait avoir une plus grande ambition. Alors nous avons élargi le projet en prenant l’option de partir avec toutes les cinquièmes de qualification et professionnelle. On s’est dit qu’on organiserait bien un trajet à vélo de trois jours. Rouler à vélo pendant trois jours avec une centaine d’élèves n’ayant pas l’habitude du vélo est un fameux défi mais ce n’est pas une finalité pour moi ! Le vélo a toujours été pour moi un « moyen pour » travailler la citoyenneté, le respect des autres, le vivre ensemble.

Pouvez-vous nous expliquer cela ?

Lorsque nous voyageons avec les élèves, par exemple, nous ne dormons pas dans des petites chambres de 10 personnes, nous dormons par terre dans des halls omnisports, dans des réfectoires tous ensemble. Pour certains élèves, cela posait problème. Mais ce qui compte pour moi, c’est surtout de leur inculquer certaines valeurs essentielles comme le vivre ensemble. Le défi vélo est un défi sportif mais il est surtout humain. Manger, dormir, rouler, se soutenir, se confronter, compter sur soi et sur les autres, partager, vivre aussi avec les profs, sont autant de choses qui ne sont pas si évidentes et pourtant si formatrices.

Combien de kilomètres parcourez-vous ensemble sur trois jours ?

Au dernier défi, nous avons parcouru 240 km ! Vous imaginez la fierté des élèves. Dans notre école, il y a des élèves qui n’ont jamais vu la mer, qui n’ont jamais été en Ardennes. Sur 240 km, on peut aller loin dans tous les sens du terme.

Tous les élèves sont-ils motivés ?

Quand nous proposons une activité scolaire, généralement, nous n’avons pas beaucoup de participation. Les raisons invoquées sont d’ordre financier, familial, religieux, personnel mais aussi parfois simplement un manque de motivation. Mais pour le défi vélo, il en va autrement. Nous arrivons à avoir une grande participation grâce à une bonne préparation du projet.

Pensez-vous que les élèves vont se déplacer davantage à vélo pour se rendre à l’école grâce à votre projet ?

Je ne crois pas, car la plupart des élèves n’ont pas de vélo chez eux et les grandes villes ne sont pas encore suffisamment bien aménagées pour rassurer les parents et motiver les enfants. Mais grâce au vélo, les élèves auront appris pour certains à rouler à vélo, à se dépasser, à se faire confiance et à faire confiance au groupe.

Ce projet va-t-il être pérennisé ?

Malheureusement, je prends ma retraite cette année mais ma collègue reprend le flambeau avec une formule un peu adaptée sur la distance et l’intensité. L’important c’est de garder le cap sur les objectifs. Je pense que cet exploit sportif permet d’éduquer non seulement à la santé, mais aussi à la mobilité, aux enjeux environnementaux et surtout à la citoyenneté !


 

Conclusion

Vu les résultats de certaines études citées plus haut, il semble qu’il y ait encore du travail à faire en ce qui concerne la mobilité de nos enfants sur le chemin de l’école. La voiture est encore le moyen de transport privilégié. Nos enfants sont pourtant de plus en plus conscients des enjeux de cette mobilité sur notre environnement et notre climat.

Les freins principaux de l’utilisation du vélo semblent être le danger, les conditions climatiques et le manque d’aménagements sécurisés (pistes cyclables, etc.).

Pourtant, malgré ces freins, de nombreuses écoles favorisent et encouragent les déplacements des élèves à vélo, car elles sont conscientes que favoriser des moyens de transports doux pour notre planète est aujourd’hui un défi de société urgent.

Nous l’avons vu, certaines écoles créent des projets et mènent des actions pour inciter les jeunes à devenir écocitoyens, à utiliser davantage leur vélo et à se pencher sur les enjeux environnementaux qui y sont liés.

Dans son Mémorandum 2019, l’UFAPEC revendique le fait de susciter, dans chaque établissement scolaire et auprès de chaque enfant, des projets et des actions concrètes en lien avec l’environnement, la biodiversité, la gestion des ressources naturelles, l’impact des modes de production et de consommation[22]. Pour l’UFAPEC, les élèves doivent être impliqués dans des actions et des projets concrets afin qu’ils se sentent acteurs et moteurs du changement. Ne faut-il pas donner davantage aux jeunes générations un esprit critique et les clés d’une mobilité choisie et réfléchie ? Pour ce faire, l’école et la famille ne doivent-ils pas être partenaires ?

On le constate, certaines écoles situées en milieu urbain, ou en milieux rural mais situées parfois trop loin du domicile ou encore drainant un public d’élèves socialement plus fragilisé peinent encore à changer certaines habitudes des enfants dans leurs déplacements. Certains élèves n’ont pas la culture du vélo, n’ont pas toujours de vélo chez eux et leur environnement immédiat n’est pas toujours bien aménagé et suffisamment sécurisé.

Certaines écoles, sous l’impulsion de personnes créatives et motrices, utilisent également le vélo comme « un moyen » ou « un outil » pour rendre nos enfants citoyens. Dans notre analyse, nous avons, en effet, constaté que le vélo pouvait être utilisé pour aborder certaines valeurs telles que le vivre ensemble, la solidarité, le partage, la confiance en soi et en les autres.

L’UFAPEC se réjouit de voir que de telles actions sont menées dans nos écoles. L’école est un lieu privilégié où le vivre-ensemble et la formation à une citoyenneté responsable, active, créative et solidaire peuvent prendre corps autrement que dans le cercle familial[23]. L’UFAPEC encourage les écoles à utiliser des outils accrocheurs tel que le vélo pour promouvoir auprès des jeunes ces valeurs essentielles.

 

France Baie

 


[1] Voir à ce sujet l’analyse de Bénédicte Loriers : Les marches des jeunes pour le climat, opportunité citoyenne ou moment récréatif ? -analyse UFAPEC- avril 2019.

[2] F. Baie, La mobilité douce (marche) sur le chemin de l’école est-elle encore possible ? analyse UFAPEC, décembre 2017 - http://www.ufapec.be/nos-analyses/3117-marche.html - lien vérifié le 8 février 2019.

[3] D’après la Planification de la Mobilité du Service Public de Wallonie (DGO2), aucunes autres enquêtes plus récentes n’ont eu lieu à ce jour.

[4] Bilan général des enquêtes de mobilité scolaire en Wallonie , Service public de Wallonie (SPW), mai 2010 - http://mobilite.wallonie.be/files/eDocsMobilite/etablissement%20scolaire/Bilan_global.pdf#page=1&zoom=auto,-274,848 -lien vérifié le 10 février 2019.

[5] La CeMathèque n°31, janvier 2011 « Jeunes et mobilité », Service public de Wallonie, http://mobilite.wallonie.be/files/eDocsMobilite/Centre%20de%20doc/CeMath%c3%a8que/cematheque31.pdf - lien vérifié le 8 février 2019.

[6] Idem.

[7] La CeMathèque n°31, janvier 2011 « Jeunes et mobilité », op cit.

[8] Idem.

[9] « A l’école à vélo », https://mobilite-mobiliteit.brussels/fr/a-lecole-a-velo -lien vérifié le 12 février 2019.

[10] Interview de la cellule communication de Bruxelles-mobilité, par France Baie, le 7 février 2019.

[11] Région Bruxelles-Capitale

[12] Pro Velo - Observatoire du vélo en région de Bruxelles capitale -Comptage et analyse des données – Rapport 2018 – Bruxelles Mobilité -  p. 15 - https://provelo.cdn.prismic.io/provelo%2Fb3a50823-cc98-4c08-8ceb-d0ffe8df97d1_obs_rbc_2018_rapport.pdf – lien vérifié le 11 mars 2019.

[13] Cette enquête, qui fait suite aux enquêtes Mobel (2001) et Beldam (2012).

[14] Source : https://mobilit.belgium.be/sites/default/files/partie_mobilite_short.pdf - lien vérifié le 17 février 2019.

[15] Idem.

[16] Idem.

[19] Interview effectuée par France Baie, le 7 février 2019.

[20] https://www.provelo.org/fr/section/ecole -lien vérifié le 12 février 2019

[21] Interview effectuée par France Baie, le 11 février 2019.

[22] UFAPEC, Mémorandum 2019, p. 63.

[23] Idem.

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