Analyse UFAPEC 2010 par J. Thollembeck

26.10/ La famille, une instance de socialisation fondamentale pour l’enfant

Constat 

Aujourd’hui plus que jamais, la répartition claire des rôles entre les familles et l’école est un enjeu crucial. En effet, nous avons déjà mis en évidence dans de précédentes analyses, le fait que celle-ci est devenue mouvante, ambigüe et suscite dans les relations quotidiennes entre les familles et l’école un grand nombre de malentendus voire de conflits. Ainsi, parents et enseignant se jugent mutuellement et se reconnaissent rarement dans ces affirmations. Les stéréotypes du parent démissionnaire ou encore de l’enseignant laxiste en témoignent. Il est bien connu que ces multiples frictions ne sont pas sans conséquences sur la réussite scolaire de l’enfant.
 
Ces quelques pages proposent d’étudier ce problème de répartition des rôles entre les familles et l’école à travers le prisme de la socialisation de l’enfant. A cette fin, nous aborderons dans un premier temps la thématique de la socialisation dans une perspective théorique puis historique., Nous opérerons ensuite un centrage particulier sur l’univers de la famille et sur ses diverses mutations afin de saisir l’importance et l’évolution de son rôle dans la socialisation de l’enfant. Nous verrons enfin que les familles et l’école, en tant qu’instances socialisatrices, doivent impérativement être appréhendées de manière interconnectée afin d’assurer de la cohérence pour l’enfant.

La socialisation : quelques clés de compréhension 

1.    Définition
De manière générale, la socialisation désigne « le processus par lequel on apprend et intériorise des modèles culturels, les normes et les valeurs qui nous permettent de nous intégrer dans la société. » En effet, pour entretenir des relations sociales, les membres d'une collectivité doivent partager un patrimoine culturel commun. On a tous appris par exemple, qu'il faut saluer son interlocuteur avant d'engager une conversation avec lui.[1]
2.    Les acteurs
Ces modèles culturels, les normes et les valeurs sont transmis d'une génération à l'autre par la famille, mais aussi l'école, le travail, les groupes de pairs... Mais avant de spécifier qui sont les acteurs de la socialisation de l’enfant, nous allons préciser quelques notions théoriques. Tout d’abord, on appelle « groupe d’appartenance », le groupe dans lequel s’opère les interactions qui conduisent à l’acquisition de normes et de valeurs dans un cadre statutaire donné (famille…). Alors que le groupe dont un individu vise à acquérir les normes, les valeurs et éventuellement le statut qui leur est associé en vue de construire son identité sociale est appelé « groupe de référence ». Notons que le groupe de référence peut être assimilé au groupe d’appartenance ou alimenter des tensions avec ce dernier.[2] Les « structures de socialisation » peuvent être définies quant à elles comme des instances multiples qui assurent la fonction de socialisation (famille, lycée, groupes d’appartenance). Cette multitude d’agents socialisateurs peut être à l’origine de certaines contradictions (exemple : socialisation familiale et socialisation dans le groupe d’appartenance peuvent être opposées).[3]
 
A la fin du 20ème siècle, on constate le déclin de certaines institutions qui contribuaient de manière importante à la socialisation : Eglise, syndicats, partis politiques... En revanche, avec l’accroissement des loisirs, d'autres prennent leur place comme, par exemple la télévision qui joue un rôle croissant dans le processus de socialisation.
 
On peut dire que la  famille par rapport aux autres canaux de socialisation est bel et bien agent socialisateur spécifique. En effet, elle transmet à l’enfant encore bien d'autres choses  que le langage, les codes sociaux les plus élémentaires et les valeurs et les normes qui l'aideront ensuite à développer des relations sociales. En effet, elle transmet aussi du patrimoine économique, culturel, et des liens affectifs qui, en retour, participent aussi de la socialisation des individus. Son influence est déterminante sur le comportement pour deux raisons principales
 
  • l’éducation des parents qui continue d’influer sur l’adolescent, même si le monde extérieur (école, amis) sert de plus en plus de référence au plus l’enfant grandit. Nous aborderons cette thématique plus loin dans cette analyse.
     
  • en second lieu, la famille reste souvent le groupe auquel l’individu se sent le plus lié, même au passage à l’âge adulte. Cela se traduit souvent par des comportements identiques. Notamment dans les actes d’achat (exemple : la même marque de café achetée de génération en génération).
Notons que plusieurs sociologues ont étudié cette thématique, tels que Bourdieu, Durkheim, chacun posant un regard sur ce processus de socialisation.
 
On ne peut parler de socialisation sans aborder le concept central de l’habitus développé par P. Bourdieu pour comprendre l'intégration des codes sociaux par les individus.
 
L’habitus est un principe qui structure la perception et l’action des individus. Il se traduit par des pratiques, des comportements et des représentations propres à sa classe sociale d’appartenance, son sexe, sa culture. « Ainsi, plus les individus appartiennent à des groupes sociaux semblables, plus leurs habitus sont proches. »[4]
 
Bourdieu fait partie des sociologues que prétendent que la socialisation favorise la reproduction sociale. Il parle en effet de « fonction de reproduction ». Dans Les Héritiers. Les étudiants et la culture (Minuit, 1964), puis dans La Reproduction (Minuit, 1970), P. Bourdieu et Jean-Claude Passeron montraient les mécanismes cachés par lesquels l'institution scolaire reproduisait et légitimait les inégalités socioculturelles. Encore aujourd'hui, toutes les études continuent de montrer que ce sont les enfants des catégories socioprofessionnelles les mieux dotées de capital culturel (cadres, enseignants...) qui réussissent le mieux à l'école. La famille aurait donc également une fonction de reproduction - les enfants d'ouvriers continueraient à devenir ouvriers.
 
Cependant, cette théorie de la reproduction a été critiquée pour son déterminisme, qui laisse peu de place aux initiatives des acteurs. Pour une nouvelle génération de sociologues, il faut aussi prendre en compte la pluralité des milieux d'appartenance et donc des formes de socialisation, comme le fait Bernard Lahire (L'Homme pluriel. Les ressorts de l'action, Nathan, 2001).
 
L’approche de Claude Dubar est originale car il étudie l’identité dans une perspective sociologique. Dans son ouvrage La Socialisation. Construction des identités sociales et professionnelles, il postule que la socialisation « qui permet la construction des identités sociales, ne se résume donc pas, en tous cas, à une simple transmission de normes et de valeurs. Aujourd'hui, on a tendance à la définir comme ensemble de représentations que l'individu se construit. »[5]
3.    La socialisation : un processus en plusieurs temps 
Après la mise en perspective des diverses approches de la socialisation, il est intéressant d’insister sur sa dimension dynamique. En effet, il s’agit bien d’un processus qui se fait en plusieurs étapes. On appelle socialisation primaire celle qui a lieu pendant l'enfance, socialisation secondaire celle qui va de l'adolescence à la fin de la vie. A quelles étapes les différents acteurs agissent-ils? La famille est l'instance de socialisation la plus déterminante, puisqu'elle est chronologiquement la première. Elle perd cependant le monopole de l'influence au-delà de la très petite enfance. L'école, les groupes de pairs (amis), les organisations professionnelles (entreprises, syndicats), les églises, les associations, les médias contribuent également à l'intériorisation des valeurs, des normes et des rôles sociaux, d'une manière qui, nous l’avons vu, peut soit prolonger, soit contredire la socialisation familiale.
 
a.    La famille : une instance de socialisation importante et changeante
Dans la partie précédente nous avons vu que la famille joue au départ un rôle très important dans la socialisation de l’enfant mais aussi que celle-ci n’est pas la seule instance. Ce point a pour objectif de montrer quel rôle la famille a tendance à jouer actuellement dans la socialisation de l’enfant en mettant en évidence les transformations par lesquelles elle est traversée. Cependant l’importance varie dans le temps.
 
Quelles sont donc les caractéristiques de la famille dans la société contemporaine ?
 
A cette fin, nous nous basons sur l’ouvrage de F. de Singly «  Sociologie de la famille contemporaine » reprenant les théories de Durkheim, de P. Ariès ou encore de Bourdieu.
 
Pour lui, dans les sociétés contemporaines, la famille est marquée par un double mouvement :
 
  • une privatisation de la famille, en raison d’une relation plus grande portée à la qualité des relations interpersonnelles
  •  une socialisation de ce groupe, du fait d’une plus grande intervention de l’Etat[6].
Selon de Singly, la famille est devenue de plus en plus un espace dans lequel les individus pensent protéger leur individualité. Mais la famille est aussi un « organe secondaire de l’Etat » dans le sens où il contrôle, soutient, régule les relations des membres de la famille.
La famille contemporaine est relationnelle.
« Elle s’est construite progressivement comme un espace « privé » où les membres de la famille ont eu de plus en plus d’intérêt à être ensemble, à partager une intimité, ont été de plus en plus sensibles à la qualité de leurs relations. Cette séparation progressive de l’espace public et de l’espace privé va de pair avec l’augmentation du poids de l’affectif dans la régulation des rapports intra-familiaux. »
La famille contemporaine est privée/publique
De Singly reprend le paradoxe de la famille moderne mis en évidence par Durkheim «  la famille est à la fois de plus en plus privée et de plus en plus publique ». La famille moderne est sous la surveillance de l’état. L’intérêt de l’enfant est une notion qui a servi et qui sert toujours de justificatif aux interventions de l’état dans la famille. L’importance croissante accordée à la déclaration des droits de l’enfant en témoigne.
La famille contemporaine est individualiste
La centration sur les relations interpersonnelles va de pair avec une certaine contraction de la famille (limitation des naissances). La famille moderne est une institution où les membres ont une individualité plus grande que dans les familles antérieures. Aujourd’hui, les parents portent une attention conséquente à l’épanouissement de l’enfant.
 
Après avoir dressé cette typologie de la famille actuelle, de Singly postule que le rôle de la famille dans la socialisation enfantine est en constante diminution. Selon lui,la famille moderne a perdu beaucoup de ses fonctions antérieures, prises en charge par d’autres institutions. Tout ce qu’une institution prend en charge est retiré à la famille qui voit se réduire ses prérogatives.
 
Philippe Ariès, historien et journaliste, ajoute que c’est la diffusion de l’école, c’est-à-dire l’extension de la fréquentation scolaire qui a été l’évènement essentiel engendrant d’une part un nouveau rapport à l’enfant et d’autre part un nouveau rapport à la famille. Selon lui, la famille moderne (selon la conception de Durkheim) est donc incompréhensible en dehors de l’histoire de la scolarisation. L’enfant occupe une place plus importante dans cette famille que dans les autres types de famille du fait de l’institution scolaire. Les réalités et les sentiments de la famille vont se transformer. Selon P. Ariès, le passage de la famille « ancienne » à la famille « moderne » se fait par la médiation d’un changement du rapport à l’enfant. Cette évolution vient des formes de l’éducation. Avant tout éducation se faisait par apprentissage. L’école crée une idée particulière de l’enfance. Aujourd’hui, l’école exerce une influence de la naissance jusqu’à l’adolescence, voire la post adolescence.
 
P. Arriès reprend l’argument d’Emile Durkheim, c’est-à-dire, la centration sur les personnes. L’intimité de la famille est progressivement préservée. Il se distancie de Durkheim en disant que la famille moderne «  se replie sur l’enfant », sa vie se confond avec les relations plus sentimentales des parents et des enfants ». L’enfant est roi, les enfants sont rois. Ils sont appréciés pour eux-mêmes. Cette modification du statut de l’enfant s’inscrit dans l’attention pour les petites choses de la vie quotidienne. Dans cette optique, de Singly affirme que la famille moderne ne mérite plus le nom de «  famille conjugale » elle devrait plutôt être désignée soit sous le terme de famille « éducative » ou sous celui de famille « sentimentale ».
 
Une recherche menée par Bernard Petre, chercheur indépendant, appuie cette importance grandissante accordée à l’épanouissement de l’enfant et à la qualité des relations interpersonnelles. Il ressort de cette recherche qu’il est très important pour les parents de passer des moments de tendresse, de rencontre et de dialogue avec leurs enfants. D’ailleurs il tire le constat suivant : «  les valeurs relationnelles ont remplacé le mérite individuel comme principe de légitimité dominant. » Pour lui, les repères que les parents cherchent à transmettre sont influencés par ce nouveau courant de pensée. « Dans ce nouveau modèle, les normes existent toujours mais sont moins visibles, leurs transmissions se jouent beaucoup plus au quotidien. »[7]
L’enfant porteur du capital scolaire
Pour P. Ariès, la famille moderne se définit pas exclusivement par l’augmentation du sentiment familial mais elle repose aussi sur les préoccupations éducatives. En effet, l’enfant peut être objet à la fois d’affection et d’ambition. Il souligne la prépondérance du capital scolaire  et la diminution du patrimoine économique. Pour Bourdieu, la société est régie par « un mode de production à composante scolaire » ; la valeur d’une famille est définie par le montant du capital scolaire détenu par l’ensemble des membres. Or, c’est l’école qui assure la certification, les diplômes selon les critères qui lui sont propres. De Singly affirme donc que la dépendance des familles vis-à-vis de l’école est forte. « Aucun milieu n’échappe aujourd’hui à l’emprise de cette institution qui délivre des titres ». Ces liens de dépendances ne sont que relatifs puisqu’il existe une « gestion familiale de l’école » et puisque certaines transformations de l’école viennent de la pression des familles.
 
b.    L’école : une instance de socialisation grandissante
Le point précédent a introduit l’idée que l’école joue un rôle de plus en plus crucial dans la socialisation des enfants et des jeunes. En effet, avec la massification de l’accès à l’enseignement, et l’évolution de la conception des enfants et de la famille, la famille a perdu le monopole dans son rôle de socialisation.[8]. On parle donc de socialisation scolaire et de socialisation familiale.[9] On peut dire que c’est « par le processus de socialisation que l’école et la famille permettent, par leur action complémentaire, l’intégration des élèves dans la société en leur faisant assimiler les valeurs et les grands principes ainsi que les normes de comportement socialement acceptées. »[10] Dans un souci de précision, il est important de noter qu’il y a des différences de socialisation, « en fonction des origines familiales des élèves et des logiques de sélection scolaire traversant l’école. »[11]
 
On peut à présent se demander par quel processus, l’école joue un rôle de plus en plus prépondérant dans la socialisation.
 
La valeur croissante accordée à la qualité des relations interpersonnelles au sein de la famille entraine, selon Bernard Petre, des attentes de plus en plus importantes envers les institutions extérieures à la famille. Dans sa recherche, il épingle quelques extraits révélateurs de ce phénomène. «  Les scouts vont lui apprendre la vie en groupe, l’école va lui apprendre la vie en groupe, l’école va lui apprendre à travailler, etc Mon rôle à moi parent c’est de lui donner des moments câlins. » Bernard Petre relève que les parents tiennent un discours paradoxal sur l’école. Ils donnent à l’école la responsabilité de former leur enfant pour qu’il ait un travail plus tard, qu’il intègre un certain nombre de normes et pensent donc que l’école a besoin d’un peu de discipline pour atteindre cet objectif. Mais d’un autre coté, comme ils sont garants de leur enfant, ils vont développer une attitude paradoxale vis-à-vis de l’école. En effet, les parents, soucieux de l’épanouissement de leur enfant, attendent également de l’école une certaine souplesse quant aux règles. « Ils ont donc un rapport très difficile avec l’école du fait de cette contradiction. »[12] Bernard Petre conclut sa recherche en disant que «  les parents ne sont pas démissionnaires, ils sont plutôt démissionnés ». Mais par qui ? Bernard Petre distingue trois sources.
 
Les parents sont démissionnés entre autres par la société. Elle véhicule des modèles de réussite qui peuvent paraitre inaccessibles aux yeux de certains parents, entre autres pour les parents venants de milieux moins favorisés. De son rôle d’adulte, de son activité professionnelle, il tire peu d’éléments qui pourraient lui donner une confiance en lui-même, qu’il pourrait utiliser face à son enfant. De plus, dans le discours de la société, il tire peu de normes ou de références pour lesquelles, il pourrait dire à son enfant que telle ou telle chose est mal. Bernard Petre postule que le respect des droits de l’homme est un des grands consensus que les parents peuvent utiliser pour affirmer ce qui est mal. Mais l’heure du coucher, quel film on peut regarder, toutes les questions qu’il faut régler au quotidien, c’est beaucoup plus difficile. [13]
 
Les parents sont en partie démissionnés par eux-mêmes parce qu’ils n’ont pas spécialement envie d’entrer dans cette facette du rôle des parents qu’est la transmission des normes, comme nous l’avons vu précédemment. En effet, ils perçoivent souvent ce rôle comme contradictoire avec leur propre recherche personnelle d’épanouissement.[14]
 
Ils sont également démissionnés par leurs enfants, puisque dans ce que j’ai appelé le piège de la différence, l’enfant va dire : «  Ecoute, tu n’es pas habilité à me dire ce que je peux faire, je suis un individu, je suis un enfant sujet,(…), je sais ce qui est bon pour moi,… »[15]
 
En guise de conclusion, nous avons relevé quelques causes pouvant expliquer l’évolution du rôle que joue la famille dans le processus de socialisation de l’enfant. Il s’agit, entre autres, de la massification de l’accès à l’enseignement qui a donné à l’école un poids grandissant dans la socialisation de l’enfant. On peut relever l’accroissement de l’importance accordée aux relations interpersonnelles au sein de la famille. On peut relever également l’accroissement des instances intermédiaires de socialisation telles que les médias, la télévision, les loisirs,…. Cependant, la famille joue toujours bien un rôle crucial de transmission des normes et des valeurs mais sous de nouvelles modalités sous tendues par le nouveau courant de pensée que sont les valeurs. Cela nous a enfin amené à démystifier le stéréotype du « parent démissionnaire » et à parler de parent démissionné. 
 
 
 
 
Julie Thollembeck
 

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[1]http://www.scienceshumaines.com/famille-et-socialisation_fr_12506.html
[3] http://www.maxicours.com/soutien-scolaire/information-et-communication/1re-stg/213348.html
[4] Le structuralisme génétique de Pierre Bourdieu in Histoire des idées sociologiques de Parsons aux contemporains, Michel  Lallemant, Armand Collin, 2005, p. 130
[5] http://www.scienceshumaines.com/famille-et-socialisation_fr_12506.html
[6] De Singly François, Sociologie de la famille contemporaine, collection 128, éditions Nathan, Paris, 1993 (2ème édition réactualisée, 1996); éditions A. Colin, 2004.
[7] Sous la direction de Philippe Beague, Quels repères pour grandir ?, Couleur livres, Bruxelles, 2004, p. 36
[8] Jacques Liesenborghs, Ecole : notre affaire à tous !, Couleur livres, Bruxelles, 2008, p. 13
[9] Barrère Anne, Sembel Nicolas, Sociologie de l’éducation, Nathan, Paris, 1998, p. 23
[10] Idem
[11] Ibidem
[12] Sous la direction de Philippe Beague, Quels repères pour grandir ?, Couleur livres, Bruxelles, 2004, p. 40
[13] Sous la direction de Philippe Beague, Quels repères pour grandir ?, Couleur livres, Bruxelles, 2004, p. 42
[14] idem
[15] ibidem

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