Analyse UFAPEC décembre 2018 par B. Loriers

30.18/ La satisfaction des élèves à l'école, une priorité pour notre système scolaire ?

Introduction

L’élève passe une grande partie de son temps à l’école et les expériences y sont nombreuses, autant en termes d’apprentissages qu’en termes de relations. L’école a donc un impact sur la qualité de vie des apprenants.

Certains chiffres nous permettent de rationnaliser ce qui est du ressort du ressenti et du subjectif. L’enquête HBSC 2014[1] nous montre que la satisfaction des jeunes par rapport à notre système scolaire est en diminution. En 2014, un dixième (10,2 %) des élèves participant à l’enquête HBSC en Belgique francophone déclaraient aimer beaucoup l’école et sont donc considérés comme ayant un sentiment de satisfaction et d’attachement élevé vis-à-vis de l’école. En fin de primaire comme en secondaire, ce pourcentage s’avère significativement inférieur à ceux observés lors d’enquêtes de 2002 et 2006[2].

Autre chiffre[3] interpellant : il semble que la satisfaction des élèves diminue au fur et à mesure des années : La proportion des jeunes aimant beaucoup l’école est significativement supérieure parmi les élèves de 5e-6e primaire (20 %) que parmi ceux du secondaire (7,5 %).

Paradoxalement, l’élève est aujourd’hui davantage au centre des apprentissages scolaires, avec une attention de l’école et des familles sur sa satisfaction, préoccupation relativement neuve dans notre société. Nous nous arrêtons dans cette analyse sur ce sentiment de satisfaction des élèves à l’école. De quoi dépend cette satisfaction ? Comment l’évaluer ? Pourquoi s’en préoccupe-t-on actuellement ? Pourquoi est-ce si important ? L’enjeu est de comprendre si la satisfaction des élèves pour l’école doit constituer une priorité pour notre monde scolaire.

Quelques critères de satisfaction des élèves

Quand on parle de satisfaction des élèves, on est en lien avec leur bien-être : un environnement scolaire favorable et une perception positive de cet environnement peuvent contribuer de manière importante au bien-être des jeunes[4].

Avant tout, la satisfaction à l’école est un concept à définir en repérant les ressources et les contraintes de l’école, mais elle est aussi propre à chacun. Nous pointons ici quelques critères qui sont communs à la plupart des élèves en termes de satisfaction dans le cadre scolaire. Cette liste n’est pas exhaustive, mais ces critères sont pour nous gage d’accrochage des élèves.

L’école doit donner du sens

La satisfaction des élèves va souvent dépendre du sens qu’ils trouvent aux longues heures passées à l’école. Le sociologue Philippe Perrenoud explique à quel point la construction du sens à l’école est vitale. Dans un système aussi contraignant que l’éducation obligatoire, les élèves sont condamnés à des stratégies d’acteurs dominés, face à un système qui leur laisse extrêmement peu de choix, qui leur impose un nombre impressionnant de choses absurdes, incompréhensibles ou pénibles, ou qui, en tous les cas, ne correspondent pas à leurs envies du moment. Dans l’institution scolaire, on apprend à jouer avec les normes et les apparences, même si les professeurs ont du mal à l’accepter ! C’est pourquoi la construction du sens est à la fois vitale - pour survivre d’aussi longues années - et difficile. Elle passe par un véritable travail mental, que nul ne peut faire à la place de l’élève, car le sens tient à sa vision de la réalité, à sa définition de ce qui est cohérent, utile, amusant, juste, ennuyeux, supportable, nécessaire, arbitraire... Ce travail, on peut cependant tenter de le faciliter, en laissant à l’apprenant un espace d’initiative, d’autonomie, de négociation, d’indécision, de rêve[5].

Les relations avec les autres élèves

La satisfaction des élèves est aussi liée au climat scolaire, qui peut être altéré par de microviolences entre élèves, comme des insultes, des vols de fournitures, un surnom méchant, des mises à l’écart, des moqueries, etc.[6]. Pour Christophe Marsollier[7], docteur en sciences de l’éducation, ces microviolences trouvent leur ancrage dans la non-acceptation de la différence.

Le soutien des camarades de classe est un indicateur important de satisfaction des jeunes à l’école. Avoir au moins un ami proche est considéré comme un facteur de résilience afin de faire face au stress, aux pressions et aux obstacles pouvant survenir dans leur vie[8]. En 2014, 44 % des élèves en fin de primaire et en secondaire déclarent recevoir un soutien élevé de la part de leurs ami(e)s (compréhension, entraide, écoute). Ce pourcentage est plus élevé chez les filles que chez les garçons. Chez les premières, ce pourcentage diminue légèrement en toute fin de secondaire. Chez les garçons, il reste stable quel que soit le niveau scolaire[9].

Les relations avec les enseignants

Les bonnes relations avec les enseignants, l’écoute, le respect, l’empathie, la bienveillance, etc., permettront à l’élève de se sentir bien à l’école. Le pourcentage d’adolescents considérant de manière positive les relations qu’ils ont avec leurs professeurs est plus élevé chez les garçons que chez les filles. En primaire, environ 50 % des jeunes ont une perception positive de ces relations, un pourcentage qui chute de 20 % dans le secondaire[10].

Faites-en l’expérience ! On se souvient bien mieux d’une relation de confiance avec notre prof préféré que de certains de nos résultats. Les relations que les adolescents entretiennent avec leurs professeurs contribuent aussi au sentiment de satisfaction et d’attachement que ceux-ci ressentent vis-à-vis de l’école. Des relations épanouies avec les professeurs, de même qu’une ambiance de classe positive, ont ainsi été identifiées comme contribuant à la confiance en soi, au bien-être mental, et à la réussite scolaire des adolescents, tandis qu’elles ont été associées négativement au développement de plaintes somatiques, et de comportements à risque, tels que la consommation de tabac, d’alcool ou de drogues[11].

Noé, un élève de 7e qualification, explique qu’il n’est pas satisfait de l’école parce que les profs avancent avec ceux qui comprennent la matière, et laissent de côté les élèves qui ne suivent pas. Ils devraient prévoir davantage de remédiations. La taille des classes joue aussi dans nos relations avec les profs : si on est trop nombreux, il n’y a pas d’ambiance de travail, et c’est nous qui décidons quand on se calme[12].

Le niveau de confiance de la famille par rapport au système scolaire

Il a été mis en évidence que les adolescents percevant un soutien élevé de la part de leur famille avaient une meilleure estime d’eux-mêmes, un niveau de satisfaction de la vie plus élevé, de meilleurs résultats scolaires et s’engageaient moins souvent dans des comportements à risque que les adolescents ne percevant pas un soutien familial élevé[13].

La satisfaction des élèves par rapport à l’école est aussi fonction du niveau de confiance que la famille offre à l’institution scolaire. L’élève se sentira d’autant mieux dans l’école si la famille la valorise et est positive par rapport à l’institution scolaire. Pour l’UFAPEC, un partenariat constructif entre la famille et l’école est un indispensable fondement de cette satisfaction.

Le stress lié au travail scolaire

Le niveau de satisfaction des élèves est aussi fortement lié au stress engendré par le travail à l’école.

Plusieurs études ont montré l’impact négatif que peut avoir le stress lié au travail à l’école sur l’apprentissage, mais également sur la santé et le bien-être. Voici des symptômes qui sont des indicateurs importants du niveau de mal-être : nervosité, anxiété, dépression, difficultés d’endormissement, maux de dos et de ventre, etc. Les résultats de l’enquête HBSC soulignent combien il est primordial de chercher à comprendre ce stress, comment il émerge, et quelles sont ses conséquences, afin de pouvoir prévenir et aider les jeunes à faire face à de telles situations[14].

Filles et garçons sont-ils égaux face au stress scolaire ? Quel que soit le niveau scolaire, les filles sont proportionnellement plus nombreuses que les garçons à déclarer être stressées (assez ou beaucoup) par leur travail scolaire.

Ce stress évolue-t-il avec les années ? Le pourcentage d’élèves stressés par le travail à faire pour l’école a tendance à augmenter au fur et à mesure de l’avance scolaire[15].

Le stress peut aussi avoir comme origine la pression parentale. Dans une de nos précédentes analyses, nous évoquions combien la pression de la part des parents peut devenir importante et envahir la vie de l’enfant en période d’examens[16].

L’environnement physique

Eclairage, ventilation, espace en classe, couleurs, points verts, lieux sportifs, etc., sont autant d’éléments qui vont influencer la satisfaction des élèves. Les toilettes, environnement fondamental pour les élèves, sont rarement propres et accueillantes : certains dégradent les lieux, d’autres y subissent des intimidations. De ce fait, la plupart des élèves évitent de se rendre aux toilettes, évitent même de boire pour ne pas avoir besoin d’y aller, ce qui peut engendrer de sérieuses répercussions sur l’état de santé des enfants et des jeunes (infections urinaires, troubles de la miction) et sur la concentration en classe. Pour l’asbl Question Santé et la Fondation Roi Baudouin, santé, respect (de soi, des autres), bien-être à l’école, vivre ensemble figurent donc parmi les principaux enjeux de la question des toilettes à l’école. Et pour que les élèves s’y rendent de manière régulière et sereine, il revient aux établissements scolaires de leur offrir des espaces sanitaires accueillants, adaptés à chacun et à un usage collectif et intensif, et dans lesquels ils puissent trouver sécurité, confort, hygiène et intimité.[17]

Le bien-être des enseignants

Le bien-être et la santé psycho-sociale des enseignants est aussi à prendre en compte si on veut améliorer la satisfaction des élèves : il s’agit d’un lien indirect, mais essentiel, car un prof en forme mentalement et physiquement pourra aider plus facilement les élèves qui lui sont confiés. Or on observe un taux élevé d’absentéisme chez les enseignants. Pourquoi ? Statistiquement, plus de 40 % des jours d’absence sont liés directement au stress et aux problèmes psychologiques. Pourtant, une étude de Christian Maroy (GIRSEF, UCL) intitulée «Radioscopie du monde enseignant» met en avant que la principale motivation des professeurs est «le travail et la relation avec les élèves», avant même l’intérêt pour la matière enseignée. C’est dire l’importance de la relation élève-professeur, une relation de moins en moins au beau fixe[18]. Voici le témoignage poignant du mal-être d’un enseignant : la porte de la salle des profs s’ouvre à la volée. Un enseignant entre, les yeux rougis, un carnet de correspondance à la main : « Putain, ils font chier ces petits cons, là ! » Et de se lancer dans la description des derniers exploits de la cinquième, qui a transformé un cours d’arts plastiques en session improvisée de Paint Ball, à grand renfort de tubes de gouache[19]. Quelles pistes de solutions à ce mal-être ? Les enseignants manquent de reconnaissance, de valorisation ; d’autre part, il leur faudrait aussi trouver un sens collectif à leur profession, un système qui laisse davantage de respirations pour pouvoir discuter de leur travail, formaliser ce qu’ils ont fait, analyser leurs pratiques et se conseiller[20].

Conclusion et pistes

Les chiffres sont interpellants : seulement 1 élève sur 10 déclare aimer beaucoup l’école. Ces chiffres qui baissent au fur et à mesure de la scolarité nous amènent à nous poser cette question : la satisfaction des élèves à l’école ne devrait-elle pas être un objectif prioritaire pour le monde scolaire ?

Savoir si les élèves se sentent bien à l’école, voilà une nouveauté ! Qu’est-ce qui explique cet intérêt pour l’élève ? Nous vivons dans une société en mutation : les rapports entre les élèves et l’école évoluent, et on observe une montée de l’individualisme. L’accent étant mis, dans la mesure du possible, davantage sur l’élève (dans la mesure du possible), on observe qu’un enfant ou un jeune qui ne sent pas bien dans son milieu scolaire éprouvera des difficultés à se concentrer et à intégrer de nouveaux apprentissages.

L’UFAPEC est convaincue que notre monde scolaire a tout intérêt à considérer la satisfaction de nos enfants comme une priorité. L’enjeu est qu’au-delà de la dimension des apprentissages, l’école sera mieux accueillie par les élèves si elle privilégie un climat scolaire positif, bien avant les évaluations. (Cyber) harcèlement, moqueries, injustices, ces violences mettent à mal le climat scolaire. Pour Christophe Marsollier, un simple débat ouvert sur le sujet, lors de l’heure de vie de classe, suffit très souvent à faire disparaître définitivement ce type de méfait qui nuit au climat de classe et introduit des clivages néfastes au bien-être de tous, élèves et enseignants[21].

Dans cette analyse, nous avons pointé différents critères qui peuvent agir positivement sur la satisfaction des jeunes dans le cadre scolaire : le sens des apprentissages, les relations entre élèves, les relations des élèves avec les enseignants, le niveau de confiance de la famille par rapport à l’école, le stress lié au travail scolaire, l’environnement physique, et le bien-être des enseignants. Pour l’UFAPEC, ces critères méritent une attention particulière de la part de tous les partenaires de la communauté éducative, dans le sens où ils éloignent les élèves du décrochage scolaire. Ces critères sont porteurs, car si l’élève est satisfait de sa qualité de vie dans le cadre scolaire, il y a de fortes chances que sa qualité de vie en dehors de l’école soit satisfaisante. L’école, micro-société, a donc un rôle non-négligeable à jouer en termes d’ouverture sur le monde, comme par exemple le fait de faire preuve de curiosité, d’être solidaire, responsable, autonome, d’avoir le sens critique, etc. Toutes ces compétences servent à la fois à l’école et en dehors.

La réforme actuelle de notre enseignement, dans le cadre du Pacte pour un enseignement d’excellence, permettra-t-elle des avancées concrètes pour améliorer la satisfaction des élèves ? Dans son avis n°3, le Pacte souhaite un accroissement des indices du bien-être à l'école et du climat scolaire mesurés sur la base d’une enquête multidimensionnelle et systémique réalisée tous les 5 ans. Cette enquête devrait être réalisée auprès des différents publics de l’école (élèves, parents, équipes éducatives) ciblant les relations au sein de la communauté scolaire, l’environnement d’apprentissage, la sécurité, l’environnement physique, le sentiment d’appartenance, et se basant également sur les données relatives à l’exclusion, l’absentéisme des élèves, à la stabilité des équipes éducatives…  L’enquête aura notamment pour objectif de vérifier une amélioration significative du pourcentage des élèves se déclarant être heureux d’aller à l’école; du pourcentage des enseignants, directions et autres personnels des établissements se déclarant être épanouis dans leur travail et satisfaits de leurs conditions de travail ; du pourcentage des parents qui ont confiance dans l’école et se déclarant satisfaits de l’accueil de leur enfant à l’école[22]. L’UFAPEC espère vivement que les résultats de ces enquêtes seront rapidement suivis d’avancées concrètes pour faire en sorte que les élèves soient davantage satisfaits de leur environnement scolaire.

Mais avant cela, quelles pistes proposer dès maintenant pour améliorer la satisfaction des élèves ? Pour l’UFAPEC, une communication efficace et constructive entre les familles et l’école est avant tout essentielle pour améliorer la qualité de vie des élèves.

D’autre part, un faible niveau de satisfaction des jeunes par rapport à l’école et un stress croissant au cours de la scolarité pourraient-ils être solutionnés par des actions visant à favoriser la motivation des jeunes vis-à-vis de l’école ? Pour l’UFAPEC, l’école est un lieu privilégié où le vivre-ensemble et la formation à une citoyenneté responsable, active créative et solidaire peuvent prendre corps autrement que dans le cercle familial. En effet, les enfants passent une bonne partie de leur journée dans un contexte social où ils rencontrent d’autres personnes, jeunes et adultes, venant d’autres horizons, ayant d’autres références sociales ou culturelles[23]. En matière de bien-être à l’école, les élèves devraient avoir le pouvoir d’augmenter leur propre satisfaction, dans une démarche citoyenne visant à améliorer le climat scolaire, en s’intégrant dans l’école. Ils peuvent s’impliquer dans des réunions par classe, avec ou sans l’enseignant, dans la délégation des élèves, et dans leur implication au conseil de participation de l’école, en faisant en sorte que leurs suggestions aient un poids réel, pour éviter de se lasser. Mais les élèves ont-ils toujours la possibilité de s’exprimer de manière efficace ?

Plus largement, l’école n’a -t-elle pas tout intérêt à prévoir une évaluation régulière de la satisfaction et son rôle dans la qualité de vie des élèves, en impliquant tous les partenaires de la communauté éducative, pour donner plus de chances au processus démocratique au sein de chaque école ?

 

Bénédicte Loriers

 


[1] MOREAU N., LEBACQ T., DUJEU M., DE SMET P., GODIN I., CASTETBON K., Comportements, bien-être et santé des élèves, enquête 2014 en 5è-6è primaire et dans le secondaire en fédération Wallonie-Bruxelles, avril 2017, ULB, esp, sipes. Disponible sur http://sipes.ulb.ac.be/

Cette enquête est le versant francophone de l’étude internationale HBSC (Heath Behaviour in School-aged Children) à laquelle participent plus de 40 pays ou régions. La répétition de cette enquête tous les quatre ans permet un suivi de l’évolution de ces indicateurs.

[2] MOREAU N., ibidem, p. 212.

[3] MOREAU N., ibidem, p. 212.                                                                           

[4] MOREAU N., ibidem, p. 211.

[5] PERRENOUD P.,  Sens du travail et travail du sens à l’école - Paru in Cahiers pédagogiques, n°314-315, 1993 : http://www.cahiers-pedagogiques.com/Sens-du-travail-et-travail-du-sens-a-l-ecole

[6] Le décret du 12 septembre 2018 (modifiant le décret Missions du 24 juillet 1997) précise dans son art. 15 §4 la liste des stratégies et priorités à prendre en compte dans les plans de pilotage, dont la prévention et la prise en charge des discriminations et des violences au sein de l’établissement scolaire, y compris des dispositifs spécifiques concernant le harcèlement et le cyber harcèlement.

[7] MARSOLLIER C., Les conditions du bien-être à l’école, janvier 2017, p. 41. : https://cdn.reseau-canope.fr/archivage/valid/N-9471-14059.pdf

[8] MOREAU N., ibidem, p. 241.

[9] MOREAU N., ibidem, p. 245.

[10] MOREAU N. ibidem, p. 217.

[11] MOREAU N., ibidem, p. 211.

[12] Témoignage d’un élève de 7e qualification, recueilli le 30 octobre 2018.

[13] MOREAU N. ibidem, p. 255.

[14] MOREAU N., ibidem, p. 237.

[15] MOREAU N., ibidem, p. 225.

[16] LORIERS B., Stress et CEB, l’école envahit-elle les familles ? analyse UFAPEC 2015 : http://www.ufapec.be/nos-analyses/20150305-stress-ceb.html

[17] ROTH V., Ne tournons pas autour du pot, aménager des toilettes accueillantes à l’école, asbl Question Santé, Edition de la fondation Roi Baudouin, mai 2018, p. 6.

[18] COCKX R., Prof, le plus beau métier du monde, vraiment ? in L’Écho (voir vidéo du 27 août 2015).

[19] Monsieur SAMOVAR, Comment ça s’attrape le mal-être enseignant ? 7 juillet 2014, in https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-monsieur-samovar/20140707.RUE0444/comment-ca-s-attrape-le-mal-etre-enseignant.html

[20] LANTHEAUME F., Mal-être des enseignants, la profession a besoin de retrouver un sens collectif, in Le Monde, 4 septembre 2017.

[21] MARSOLLIER C., Les conditions du bien-être à l’école, janvier 2017, p. 41. : https://cdn.reseau-canope.fr/archivage/valid/N-9471-14059.pdf

[22] Avis n°3 du pacte pour un enseignement d’excellence du 7 mars 2017, pp. 318-319 : http://www.pactedexcellence.be/wp-content/uploads/2017/05/PACTE-Avis3_versionfinale.pdf

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