Analyse UFAPEC novembre 2019 par D. Houssonloge

21.19/ Ennui et réussite à l’école font-ils bon ménage ?

Introduction

Ennui et réussite à l’école font-ils bon ménage ? Alors que le taux d’échec scolaire en Fédération Wallonie-Bruxelles reste important[1], des parents nous font part régulièrement de l’ennui que vit leur enfant à l’école. Il semble dès lors utile de s’interroger sur l’ennui comme facteur de réussite. Faut-il laisser les élèves s’ennuyer ? L’ennui est-il propice ou non aux apprentissages ?

Les avis divergent et suscitent le débat au point que des professionnels y consacrent leurs recherches[2]. Différents points de vue existent. L’ennui serait nécessaire dans le processus de construction du jeune et l’école n’aurait pas à être ludique ou distrayante, mais sa mission serait d’apprendre le goût de l’effort. D’un autre côté, l’école serait devenue plus ennuyeuse au point de démotiver les élèves. Cet ennui serait néfaste aux apprentissages et à la réussite scolaire au point que certains jeunes décrochent et quittent le système, la solution étant dès lors d’adapter l’école.

D’où la question suivante : l’école est-elle plus ennuyeuse à l’heure actuelle, ce qui renvoie à un problème de système éducatif, ou les élèves actuels s’ennuient-ils plus vite ce qui renvoie à un problème de société et d’éducation familiale ?

Définition

Voici la définition que donne le dictionnaire Larousse du mot ennui dans le sens où nous l’entendons ici : lassitude morale, impression de vide engendrant la mélancolie, produites par le désœuvrement, le manque d'intérêt, la monotonie (au singulier seulement) : « à la campagne, je meurs d'ennui »[3].

Une majorité des élèves s’ennuie

Nous ne disposons pas de chiffres scientifiques. Néanmoins, dans le cadre du processus du Pacte pour un Enseignement d’excellence (PEE), un sondage a été réalisé en 2016 où il apparait que si une grande majorité des élèves de l’enseignement obligatoire dit s’intéresser aux cours, 45 % déclarent aussi s’ennuyer parfois et 40 % souvent durant les cours alors qu’une minorité dit s’ennuyer, 20 % parfois et 10 % très souvent, durant les temps libres[4].

En France, les chiffres sont à la hausse : en 2012, 57 % des élèves, soit plus d’un élève sur deux, de l’enseignement fondamental et secondaire déclarent s’ennuyer à l’école[5]. Plus l’enfant grandit, plus il s’ennuie : en 2015, ce sont 71 % des élèves du secondaire, soit presque ¾ des élèves, qui déclarent toujours s’ennuyer alors que la moitié affirme ne rien faire d’autre sur les bancs de l’école que prendre des notes[6].

En histoire-géo, la prof parle tout le temps. Elle pose les questions, et elle y répond. Elle fait son cours à elle-même.
Calliste, 14 ans

Je m'ennuie en technologie. Le prof nous donne un objectif très vaste, comme de trouver sur internet la machine à laver la plus rentable, puis il nous laisse sur l'ordi sans nous dire comment faire. Il dit que c'est très facile.
Cathy, 14 ans[7]

Par ailleurs, ceci corrobore les affirmations des jeunes et selon le sociologue François Dubet, bien des enseignants sont désarmés devant l’ennui des élèves et en souffrent.[8] En France toujours, selon une enquête de 2008, 85 % des jeunes professeurs déclarent être confrontés régulièrement au manque d’intérêt de leurs élèves[9].

De quel ennui parle-t-on ? Celui de l'élève qui passe à côté de tout ? Ou celui de l'élève qui trouve que ça ne va pas assez vite ? Dans ma classe, j'ai 25 centres d'intérêt différents. Il y en a qui choisissent de s'ennuyer parce qu'ils refusent d'apprendre, parce que ça ne va pas leur servir. Je ne le vis pas comme un échec personnel, mais comme un échec collectif.
Jean-François Clair, professeur de mathématiques

L'ennui est inévitable car l'école est une contrainte. Il s'agit pour le prof de rendre la chose la moins désagréable possible. Et puis, il y a une part d'ennui contre laquelle je ne peux rien faire, parce que, pour ces élèves, il faudrait un cours individuel. Ils souffrent d'échecs passés, ils n'adhèrent plus.
Sophie Audoubert, professeur de français[10]

Réhabiliter l’ennui

L’ennui peut être considéré comme une bonne chose ou du moins comme nécessaire dans la construction du jeune. Un dépliant Yapaka de la FWB[11] à l’attention des parents et des éducateurs au sens large évoque la vitalité de l’ennui que ce soit en famille, à l’école ou dans les loisirs. Laisser l’enfant seul face à lui-même dès le plus jeune âge lui permet de construire sa pensée, découvrir l’altérité, développer sa créativité à la maison comme à l’école. En réaction à notre société actuelle où l’ennui n’aurait plus sa place, de nouvelles formes de parentalité ont vu le jour comme le slow family living (vie de famille au ralenti) et le free-range parenting (éducation parentale libérée).[12] Dans cette optique, c’est fondamental de laisser du temps pour le rien, pour une activité libre et ne pas occuper systématiquement le jeune[13].

Certains vont plus loin dans la réflexion : l’école, qui n’a pas à être ludique ou distrayante, doit apprendre à l’élève le sens de la volonté et du courage notamment en dépassant l’ennui parce que comme le soutenait déjà le pédagogue Albert Moyne en 1996, l’ennui est nécessaire à la transmission du savoir et fait partie intégrante du processus créatif[14].

C’est dans ce sens qu’il faut comprendre l’appel à une réhabilitation de l’ennui comme enjeu de notre société.

Rendre l’école plus attractive

Pour d’autres, l’école est devenue d’un ennui mortel entrainant la démotivation, la perte de sens, le décrochage et finalement l’échec scolaire de nombreux élèves. C’est notamment le point de vue de François Dubet[15]. L’ennui à l’école n’est pas un phénomène nouveau, mais il a explosé avec la démocratisation de l’enseignement qui accueille aujourd’hui tous les élèves. Et si autrefois, les élèves s’ennuyaient poliment, aujourd’hui ils se gênent moins : bavardages, jeux, agitation, chahuts au point que parfois l’enseignant ne sait plus donner cours[16]. Cette intolérance à l’ennui est d’autant plus forte que l’institution scolaire a perdu de sa crédibilité, l’école ne garantissant plus une intégration sociale et professionnelle comme autrefois, et que les jeunes évoluent dans une société numérique où ils sont constamment stimulés.

Face à cet enjeu de société, certains vont jusqu’à penser que si l’école veut survivre et garder du sens, elle doit se montrer aussi, si pas plus, intéressante que la TV, les jeux vidéo et Internet. C’est ainsi que l’école parviendra à motiver les élèves en leur proposant des activités où ils trouvent également de l’excitation, du challenge et du plaisir.[17] Bien au-delà de la société numérique, d’aucuns comme le chroniqueur et auteur québécois David Goudreault pressent l’école de permettre aux élèves de découvrir leurs talents, d’apprendre à se connaitre et se surpasser pour être dans la persévérance du scolaire[18].

Du bon au mauvais ennui

Qu’en penser finalement ? L’ennui est-il propice ou non aux apprentissages ? Il faut certainement distinguer ce que l’on pourrait appeler le bon ennui du mauvais ennui.

Si on va devoir patienter je ne sais pas aller chez le médecin, patienter longtemps dans la salle d'attente on va lui donner le téléphone pour qu'il ait quelques choses à faire.

Mathilde, maman[19]

Le bon ennui est nécessaire dans la construction de l’enfant : comme évoqué plus haut, en ayant des moments de temps libre à petite dose, l’enfant apprend à observer, à exploiter ses propres ressources, à devenir autonome et à se poser. Pour la psychopédagogue Claire Lecomte, ne rien faire est une activité à part entière et il faut laisser les enfants s’ennuyer. Or, vu les sollicitations permanentes que vivent les enfants aujourd’hui, elle observe de plus en plus d’enfants énervés et fatigués[20]. Des chercheurs américains ont aussi observé de l’anxiété, voire de la dépression, chez les enfants qui ne pouvaient pas avoir des temps de rien[21]. En réaction à cette société hyperactive, des cours de yoga ou de relaxation se développent aussi à l’école pour permettre à l’élève d’être dans de meilleures conditions d’apprentissage. Cela nous renvoie à nos propres pratiques et représentations : de quoi avons-nous peur en tant que parent ou éducateur en laissant l’enfant s’ennuyer ? De ne pas bien nous en occuper, de risquer qu’il fasse des bêtises, qu’il dérange, de devoir le recadrer, de ne pas rentabiliser son temps ? Formatés par une société de la performance, de la rentabilité et du divertissement à tout prix, n’avons-nous pas nous-mêmes peur de nous ennuyer ? Être au top n’est-ce pas d’abord dans notre esprit être quelqu’un d’occupé ?

Et le mauvais ennui ? Il est un fait certain qu’être élève ce n’est pas qu’une partie de plaisir, que l’ennui à l’école a toujours existé, que les élèves d’aujourd’hui sont moins dociles et que le monde de l’image et du numérique a habitué le jeune à être d’abord dans le divertissement. Sur ce point un travail de co-éducation entre l’école et la famille reste un enjeu important pour éviter constamment de se renvoyer la patate chaude. La famille a aussi son rôle à jouer dans la motivation de l’élève face aux apprentissages : en suscitant dès le plus jeune âge la curiosité de l’enfant, en lui donnant l’envie d’apprendre, de comprendre, de s’émerveiller, de s’ouvrir...

L’école peut-elle pour autant ignorer le problème de l’ennui ? Il est évident que non si elle veut perdurer. C’est donc à un défi majeur qu’elle est confrontée. C’est sur cette question du rôle de l’école du XXIe siècle face aux nouveaux défis citoyens que des parents, associations de parents, enseignants, PO et directions avaient débattu en 2017, à l’initiative de l’UFAPEC, lors d’une matinée ciné-débat[22].

Sur quoi l’école a-t-elle prise et que peut-elle mettre en place pour être plus attractive et réduire l’échec scolaire ? Il faut d’abord comprendre les causes de l’ennui à l’école pour agir sur le problème. L’ennui à l’école a d’abord une cause structurelle : l’inactivité génère l’ennui, que ce soit par l’immobilité (rester assis, sans bouger sept heures par jour est contre-nature pour un enfant ou un adolescent plein de vie) ou par la passivité en devant écouter l’enseignant donner un cours magistral (pédagogie verticale) et en prenant des notes sans pouvoir interagir et participer.

L’évolution de notre société accentue encore le problème. Cela explique en partie le regain d’intérêt[23] pour les nouvelles pédagogies (dites aussi pédagogies actives ou pédagogies alternatives) de type Freinet, Steiner, Montessori ou Decroly basées d’abord sur l’élève comme acteur de son apprentissage et mettant en avant la transversalité du savoir, l’interactivité, l’implication, la responsabilisation, les classes flexibles[24], l’auto socioconstructivisme (apprendre à apprendre en solidarité avec les autres), la motivation intrinsèque (le fait d’avoir envie d’apprendre pour soi-même)[25]. Si les nouvelles pédagogies offrent des éléments précieux pour la motivation et, donc la réussite des élèves, il faut rester prudent comme l’explique le psychopédagogue Benoît Galand, ne sachant pas suffisamment ce qui fonctionne vraiment ou pas dans les pédagogies actives conçues pour la plupart il y a plus d’un siècle[26]. Par ailleurs, ces écoles sont encore minoritaires, parfois privées et donc peu accessibles à tous.

A la lecture de ce qui précède, il semble que le modèle pédagogique et le rapport au savoir et à l’élève doivent être repensés si l’école veut motiver les élèves et éviter l’ennui, le décrochage puis l’échec scolaire. Cela demande une révolution des concepts enseignant – savoir – élève qui va bien au-delà de la responsabilité de l’école et de ses enseignants envers qui les attentes se sont démultipliées.

L’Avis n° 3 du Pacte pour un Enseignement d’Excellence évoque cette révolution et envisage en autres, dans la lutte contre le redoublement :

  • le renforcement du tronc commun
  • le changement de modèle en matière d’évaluation
  • le plaisir d’apprendre des élèves, de leur motivation et capacité à prendre une part active dans leur évaluation et dans la responsabilité de leurs apprentissages
  • la formation initiale et continue des enseignants
  • le développement de l’innovation pédagogique et des programmes de recherche
  • l’utilisation du numérique en tant que moyen d’apprendre qui permet de proposer un enseignement qui fait sens pour les élèves pour susciter chez eux le désir ou le plaisir d’apprendre[27].

Pour l’UFAPEC, lutter contre l’ennui à l’école est une priorité. Dans son Mémorandum 2019, l’UFAPEC formule diverses recommandations en matière de lutte active contre le redoublement et le décrochage, phénomène en lien étroit avec l’ennui. Elle recommande notamment d’encourager la motivation de l’élève par rapport aux apprentissages, le mettre en projet à travers ceux-ci et favoriser son autonomie, tant vis-à-vis de son parcours d’apprentissage que vis-à-vis de son parcours de vie[28].

Conclusion

C’est un fait, une majorité des élèves du maternel au secondaire s’ennuie régulièrement à l’école ; les enseignants le confirment et font aveu d’impuissance.

Notre société du XXIe siècle privilégie d’abord le résultat, le divertissement, le zapping, le plaisir, l’image et, bien entendu, le numérique si bien que le modèle scolaire ennuie encore plus qu’autrefois. Dans ce contexte, apprendre à l’enfant à aller au-delà de l’ennui, rester sur une même activité, se concentrer, se poser des questions, réfléchir, travailler, se familiariser au monde de l’écrit est indispensable et commence dans la famille premier lieu de socialisation de l’enfant.

L’intolérance des élèves à l’ennui est d’autant plus forte qu’ils sont méfiants vis-à-vis d’une institution scolaire qui ne tient plus ses promesses d’intégration. Réussir à l’école est loin d’être évident et accessible à tous et aujourd’hui, même avec un diplôme, beaucoup galèrent à trouver et garder un emploi.

Si le bon ennui, où l’élève est occupé dans des activités de temps libre, est bénéfique dans le développement de l’enfant, le mauvais ennui dû à un enseignement encore trop vertical a des conséquences néfastes pour la réussite et la motivation de l’élève. Et si l’école ne peut pas être un terrain de jeu, elle doit au moins, en co-éducation avec les parents, accrocher le jeune, lui donner l’envie d’apprendre, d’étudier et de se dépasser.

Repenser le sens de l’école, le rapport au savoir, mettre l’école au service de l’élève et des nouveaux défis citoyens qui l’attendent est un passage obligé et concerne tout un chacun.

On ignore quels choix politiques et sociétaux seront faits. Néanmoins, on peut émettre l’hypothèse que si l’école ne parvient pas à s’adapter et à sortir de la crise qui la traverse, les prochaines générations seront d’autant plus tentées de se tourner vers de nouvelles instances d’apprentissage qui pourront être mouvantes, orientées et privées.

 

 

Dominique Houssonloge

 


[1] En 2016-2017, 13 % des élèves de l’enseignement primaire ordinaire sont en retard scolaire. C’est le cas de 46 % des élèves qui fréquentent l’enseignement secondaire ordinaire de plein exercice. Source : Fédération Wallonie-Bruxelles, Les indicateurs de l’enseignement 2018, p. 30 - http://www.enseignement.be/index.php?page=0&navi=2264

[2] Voir notamment les notes de bas de page référençant diverses sources.

[4] PEE, La motivation et l’ennui à l’école : le point de vue des élèves. Résultats du sondage, janvier 2016 - http://www.pactedexcellence.be/wp-content/uploads/2017/04/Analyse-Motivationennui-Eleves-n297.pdf

[5] Mon enfant s’ennuie à l’école in Psychologies, 28/09/2012

[6] L'ennui à l'école touche tout le monde in L’Obs, 30/08/2015 - https://www.nouvelobs.com/societe/20150827.OBS4834/l-ennui-a-l-ecole-touche-tout-le-monde.html

[7] "Le prof croit que je note. En fait, je dors". Ils racontent l'ennui à l'école in L’Obs, 02/09/2015 -

https://www.nouvelobs.com/societe/20150827.OBS4839/le-prof-croit-que-je-note-en-fait-je-dors-ils-racontent-l-ennui-a-l-ecole.html

[8] L’ennui à l’école touche tout le monde, op. cit.

[9] Jeanne Grolet, L’ennui à l’école, mémoire de master MEEF, 2016-2017, p.. 3

[10] Le prof croit que je note, op. cit.

[11] FWB, La vitalité de l’ennui - https://www.yapaka.be/texte/la-vitalite-de-lennui

[12] Ces enfants déstabilisés par l’hyperparentalité (epub). Présentation de l’ouvrage de Myriam Jézéquel par les Editions Québec-Livres. 2013 - http://www.quebec-livres.com/enfants-destabilises-par-hyperparentalite/myriam-jezequel/livre/9782764033036

[13] FWB, op. cit.

[14] Albert Moyne, Pour vaincre l’ennui à l’école. Paris, 1996.

[15] L’ennui à l’école touche tout le monde, op. cit.

[17] Ecole : comment transformer l’ennui en plaisir, 23/03/2017 - https://papapositive.fr/lennuie-a-lecole/

[18] David Goudreault, La persévérance scolaire in La Tribune, 18/02/2017 -  https://www.latribune.ca/chroniques/david-goudreault/la-perseverance-du-scolaire-8f36f2c4be124902398cd66a361ac20c

[20] Pour son bien, il faut laisser son enfant s’ennuyer in Madame Le Figaro, 02/01/2019 - http://madame.lefigaro.fr/enfants/lennui-activite-indispensable-au-bon-developpement-de-lenfant-020119-162815

[21] Développement de l’enfant : pourquoi ont-ils absolument besoin de temps libre in Notre famille, vos questions de parents, 22/02/2011 - https://www.vosquestionsdeparents.fr/dossier/853/developpement-de-lenfant-laissez-leur-du-temps-libre

[22] 25 novembre 2017, IATA Namur avec la projection du film Une idée folle

[23] Voir notamment le Groupe belge d’éducation nouvelle : https://gben.be/ - Des écoles secondaires comme le lycée intégral Roger Lallemand et l’IATA se sont également engagées dans cette voie.

[24] Voir notamment Manon Claes, Réaménager les classes pour favoriser l’apprentissage et le bien-être des élèves ? Analyse UFAEPEC 26.18 - http://www.ufapec.be/nos-analyses/2618-reamenagement-classes.html

[25] La motivation intrinsèque est en jeu lorsqu’une activité est réalisée pour le plaisir et la satisfaction qu’elle procure alors que la motivation extrinsèque intervient dans les situations où le comportement répond à des objectifs instrumentaux (obtenir une récompense ou éviter une sanction, par exemple). Source : https://www.cairn.info/revue-bulletin-de-psychologie-2006-4-page-351.htm#

[26] Benoît Galand interviewé par la Ligue de l’Enseignement et de l’Éducation permanente dans Eduquer n° 122, mai 2016, pp. 15 à 18

[27] FWB, Pacte pour un Enseignement d’Excellence, Avis n° 3, 07/03/2017, pp. 226 et 85

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