Analyse UFAPEC juin 2025 par A. Pierard
  • Les options dans l’enseignement spécialisé de forme 3 : des métiers porteurs pour l'avenir des jeunes ?

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06.25/ Les options dans l’enseignement spécialisé de forme 3 : des métiers porteurs pour l'avenir des jeunes ?

Introduction

C’est dans la forme 3 que sont inscrits la majorité des élèves de l’enseignement secondaire spécialisé. En 2021-2022, sur un total de 18.255 élèves, 11.326 jeunes suivent un enseignement de forme 3.[1] Cette forme d’enseignement, comme la filière métiers dans l’enseignement ordinaire, vise l’insertion socioprofessionnelle de ses élèves.

Comme nous l’avons constaté dans notre étude sur la réussite dans l’enseignement spécialisé[2], les parents ne sont pas les seuls à s’interroger sur le futur des élèves sortant de l’enseignement spécialisé de forme 3. Les métiers proposés sont-ils porteurs pour l’avenir des élèves à besoins spécifiques (EBS) ? Sont-ils en adéquation avec les capacités et les besoins de ces élèves ? Si certaines options ne sont pas ou plus pertinentes, pourquoi sont-elles maintenues ? Faut-il les revoir ? Y a-t-il un objectif non-formulé à conserver des options obsolètes ?

Ces questions sont ressorties lors des entretiens menés dans le cadre de notre étude de 2024. Tous les acteurs que nous avons interrogés (parents, élèves, directions) se questionnent sur la pertinence des métiers accessibles dans le cadre de la forme 3 de l’enseignement spécialisé. Dans cette analyse, nous allons approfondir la réflexion à ce sujet : les options en forme 3 constituent-elles de réels tremplins pour l'avenir des EBS ?

La forme 3, c’est quoi ?

L’enseignement secondaire spécialisé de forme 3 est une formation générale, sociale et professionnelle qui vise l’intégration dans un milieu de vie et de travail ordinaire. La forme 3 est organisée dans tous les types de l’enseignement spécialisé, sauf le type 2 (destiné aux élèves présentant un retard mental modéré ou sévère).

Cet enseignement est découpé en trois phases d’apprentissage correspondant à la durée requise pour atteindre les objectifs et maitriser les compétences fixées. Cela permet d’affiner le projet de l’élève tout au long de son parcours scolaire.

  • phase 1. observation et approche polyvalente d’un secteur
  • phase 2. formation polyvalente dans un groupe professionnel
  • phase 3. qualification dans un métier du groupe professionnel suivi en phase 2

Comme l’explique Julien Anciaux, conseiller pédagogique pour l’enseignement secondaire spécialisé au SeGEC[3], l’enseignement spécialisé de forme 3 couvre, dans notre réseau, une offre pour une cinquantaine de métiers dans huit secteurs professionnels. Tous ces programmes sont plus ou moins jeunes. De nouveaux métiers apparaissent régulièrement. D’autres programmes sont parfois mis à jour en fonction des réécritures de profils par le SFMQ (Service francophone des métiers et des qualifications). C’est le cas du secteur des services aux personnes.[4]

Le SFMQ réalise les profils métiers, comme, pour l’enseignement ordinaire, en tenant compte du bassin professionnel, des compétences attendues, des conditions d’exercice du métier et en décrivant les activités constitutives de celui-ci.

Certaines écoles secondaires spécialisées organisant la forme 3 proposent également une formation en alternance.

Des stages pour découvrir le métier

Afin de préparer la transition et l’entrée dans le monde du travail, des stages sont organisés :

  • en phases 2 et 3, les élèves font des stages de pratique accompagnée pouvant durer de 15 à 30 jours.
  • en phase 3, il y a aussi des stages de pratique en autonomie pouvant durer de 30 à 40 jours dont au moins 20 jours consécutifs. Si la 3e phase dépasse la durée d’une année scolaire, la durée des stages peut atteindre 75 jours ouvrables.

Vu l’importance accordée aux stages, le savoir être est beaucoup travaillé. Selon Paul-André Leblanc, responsable du secteur de l’enseignement secondaire spécialisé au SeGEC, c’est un atout pour les élèves. Il y a des patrons qui préfèrent avoir des élèves venant de l’enseignement spécialisé. Ils savent qu’on leur a appris à être à l’heure, à avoir leur matériel, etc. et que l’élève a intégré ces apprentissages.[5]

Des options en adéquation avec les besoins des élèves ?

Certains élèves éprouvent des difficultés à trouver leur voie et à se projeter dans un projet de vie. Cela est d’autant plus complexe quand les quelques options organisées dans l’école ne leur parlent pas ou ne correspondent pas à leur handicap (par exemple, un élève dyspraxique[6] va difficilement s’épanouir dans un métier manuel).

Même si c’est la forme qui accueille le plus d’élèves de l’enseignement secondaire spécialisé, l’offre reste une question problématique. Il faut parfois faire des kilomètres pour avoir une école spécialisée répondant aux besoins de l’élève. Reste encore à voir si les options proposées dans cette école vont l’intéresser… Même si le panel d’options est vaste de manière globale, peu d’options sont organisées par établissement.

Laura, la fille de Fabienne Van Veerdegem était, par manque de choix dans son école, dans une filière métier qui ne lui correspondait pas. Laura travaille à présent dans un tout autre domaine. Nous avons trouvé quelque chose où elle pouvait trouver du sens à ce qu’elle faisait. Elle fait du pain dans une boulangerie (il s’agit d’une asbl qui accueille des jeunes adultes porteurs de handicap mental pour les aider dans leur intégration sociale dans un cadre professionnel). Selon Fabienne, le système scolaire doit pouvoir innover pour s’adapter aux élèves et à leurs besoins. Il y a un blocage au niveau des idées. Il faudrait pouvoir proposer des choses nouvelles, que l’on n’a pas l’habitude de voir.[7]

Chimène Dhainaut, directrice de l’IRSA[8] à Uccle, se sent limitée par l’offre de la forme 3 face aux besoins de ses élèves malentendants et malvoyants. On est coincés par une offre de formations qui ne correspond pas aux besoins de nos élèves. On peut organiser tout le panel de l’existant, mais les élèves de type 6 [élèves présentant des déficiences visuelles] vont essentiellement en travaux de bureau. C’est très compliqué parce que, dans tous les métiers, il faut la vue.[9] Chimène clôture la discussion en nous faisant part de son découragement face à l’ampleur du travail quand il y a un souhait d’ouverture d’une nouvelle option (lourdeur administrative, longueur de la procédure).

Cédric Defleur, un ancien élève de l’IRSA, qui s’était « rabattu » sur l’option horticulture lui permettant d’être à l’extérieur, partage son ressenti. En type 6, j’avais quoi comme solutions ? Le cannage de chaise, l’accordage de pianos, la cuisine, la boulangerie, l’horticulture. Sur les 5, il y en a 3 où l’on va me dire que c’est dangereux. Le travail de bureau, pour une personne malvoyante, ça a du sens, mais je suis quelqu’un d’actif. Rester assis toute une journée, ce n’est pas pour moi.[10]

La question à se poser est la suivante : quelles sont ici les options adaptées aux élèves relevant du type 6 ? Faut-il créer de nouveaux profils métiers et en faire disparaitre d’autres ? Dans le cadre de notre étude sur la réussite dans l’enseignement spécialisé, Fabienne et Cédric ont évoqué l’option massage des personnes, activité qui est en développement dans notre société stressée et en demande de plus de bien-être. C’est effectivement dans le potentiel des handicaps sensoriels. Est-ce organisable ? Mettre en place cette option, n’est-ce pas se heurter à des résistances encore bien présentes : le tabou du corps et du toucher à l’école[11] ou nos représentations de la personne avec un handicap, perçue comme la personne à soigner plutôt que la personne soignante ? De manière globale, faut-il revoir les métiers proposés en forme 3 tout en tenant compte des besoins spécifiques des élèves présents dans les différents types de l’enseignement spécialisé ?

Julien Anciaux précise que, dans l’enseignement spécialisé, l’accent est mis sur le projet du jeune. Une souplesse permet de prendre en compte l’hétérogénéité du public et les spécificités des élèves. Il n’y a pas forcément de lien entre option et type. Le type va définir l'étiquette qu'on mettra sur le handicap, l'option définit les propositions de formation. C’est là qu'on doit être assez vigilant sur le principe de travail du projet du jeune. C'est clair que pour un élève malvoyant, ce ne sont peut-être pas les domaines de l'art graphique ou de la couture qu'on va plébisciter. Le cannage de chaise, il y a toute une partie kinesthésique dans le travail qui pourrait lui correspondre.

Selon lui, il faut être clair avec l’élève sur les attendus du métier, vérifier l’adéquation de la représentation qu’il en a. En agronomie, il faut être beaucoup dehors, prêt à supporter certaines conditions météorologiques. En cuisine, il y a des coups de feu, il faut être rentable à des moments précis. Les métiers de service aux personnes, on est dans un travail constant et régulier. Tous ces métiers ont des profils différents. Quand le besoin spécifique peut bloquer, c'est le boulot de l'enseignant et du conseil de classe d'avertir l’élève et ses parents et d'oser repenser son projet. En sérigraphie [procédé d’impression sur tissus], j’ai eu une élève qui avait une très grosse déficience au niveau de sa colonne vertébrale. C'est un métier dans lequel il faut manipuler des gros objets et rester statique très longtemps avec de grands mouvements de bras. C’était plus honnête de notre part de lui dire qu’elle risquait de ne pas pouvoir tenir le rythme de travail.

En construisant le projet de l’élève avec lui, l’équipe doit pouvoir identifier ses besoins spécifiques, mais aussi les forces et les qualités sur lesquelles s’appuyer afin que ce projet lui corresponde au mieux.

Des options permettant de trouver un emploi ?

Fréquemment, lors de réunions ou via des contacts individuels, des parents d’élèves font part à l’UFAPEC de leurs inquiétudes pour l’avenir de leurs enfants :

  • Ma fille est dans une école motivante qui veut préparer ses élèves à leur vie professionnelle. Mais nous sommes inquiets pour le futur. Comment va être son avenir professionnel ? Comment va-t-elle se débrouiller ?
  • En termes de perspectives professionnelles, nous avons eu des contacts avec l’école qui nous dit que beaucoup d’élèves trouvent du travail. J’ai travaillé dans l’insertion socio-professionnelle pour des personnes peu qualifiées et ma vision est tout à fait différente. J’espère que l’école aura raison et que notre fille trouvera un emploi facilement, même un emploi adapté qui lui permettra de s’épanouir.

La perspective métier est importante dans la forme 3. Les cours préparent à un emploi, les stages permettent une insertion en milieu professionnel. Comme l’explique Julien Anciaux, la plupart de mes élèves ayant rapidement trouvé un emploi après la sortie de l’école, c’est parce que l’employeur de leur lieu de stage leur a proposé cet emploi.

Certains secteurs sont plus porteurs que d’autres. Chimène Dhainaut prend pour exemple le secteur de la construction. Si vous prenez une école comme Sainte-Bernadette à Auderghem, ils forment des ouvriers polyvalents dans le bâtiment. Ces élèves, d’après le directeur, sont quasi tous engagés sur leur lieu de stage en fin de parcours. Ce sont des ouvriers polyvalents capables de faire du carrelage, de la plomberie, de la menuiserie et donc des profils recherchés. Mais faut-il cibler et former uniquement les jeunes aux métiers en pénurie ? Cette polyvalence est-elle plutôt à penser en préparant les jeunes aux métiers de leurs choix, en leur donnant des bases qui les motiveront à travailler ?

Julien Anciaux était professeur d'infographie et d'impression digitale, dans un secteur peu porteur. L’impression textile, c’était le débouché principal. Beaucoup d'élèves que j’ai eus en classe y ont obtenu un boulot. Certains sont passés dans une branche périphérique : conduction de machine de broderie ou d'impression. Dans ce secteur-là, il n’y a pas d'autres débouchés.

Hugues Pigeon, directeur de l’école la Cordée à Wasmes jusqu’en septembre 2024, apporte de la nuance. C’est vrai qu’il y a des métiers qui sont moins porteurs que d’autres. La maçonnerie, c’est un métier qui est porteur. En revanche, il y a moins de débouchés pour les ferronniers-soudeurs ou les monteurs-placeurs qui, eux, réalisent un aspect bien spécifique du travail de menuisier. Ceux qui ne trouvent pas de travail dans la filière métier suivie font autre chose en valorisant leurs acquis. Par exemple, des élèves en ferronnerie ont été engagés par la société wallonne des eaux pour souder des tubes. Ce n’est pas vraiment de la ferronnerie, mais c’est quelque chose qu’ils savent faire, car ils ont une très bonne base en soudure. Ce qui leur permet de trouver d’autres boulots, ce sont leurs bases, mais aussi le goût qu’on leur a donné de trouver un emploi.[12] Dans un même secteur, ici l’industrie et la construction, certains métiers ont plus de débouchés que d’autres. Ce témoignage montre aussi que des compétences acquises dans un métier peuvent servir dans l’exercice d’autres professions.

Comme l’explique Julien Anciaux, il y a des formations qui vont amener à avoir certains gestes techniques qui sont transférables rapidement dans d'autres domaines. Je me souviens avoir rencontré des employeurs dans le domaine de ce qui était la microtechnique qui disaient « c’est une reconversion possible pour des personnes qui sont couturiers, couturières. Ils font des gestes précis, ils ont la capacité de travailler de manière statique, en restant longtemps concentrés sur une tâche précise. ». Parfois les compétences transversales et les savoir-faire, les attitudes d'un métier peuvent tout à fait correspondre à un autre métier. C’est peut-être le cas du cannage de chaise ou de l’accordage de piano à l’IRSA. Encore faut-il que cela ait du sens pour l’élève et ses parents.

Selon Chimène Dhainaut, il n’y a pas suffisamment d’options organisées en phase avec les métiers actuels. Rempailleur, canneur, assistant décorateur, relieur, encadreur. Il faut dépoussiérer tout cela. Il faudrait renouveler le panel d’options envisageables, l’école prépare à des métiers qui n'existent plus. Les options que l’on continue à proposer aujourd’hui sont largement obsolètes.

Julien Anciaux fait part d’une évolution positive dans ce sens. Il y a de nouveaux métiers qui arrivent, qui sont des métiers beaucoup plus ancrés dans la réalité actuelle. On voit les écoles s'intéresser à ces métiers. Ce sont des métiers qui sont beaucoup plus hybrides. C’est intéressant de voir une école qui ouvre l’option « valoriste généraliste ». C’est un métier de la retape, de la récupération, un peu touche-à-tout. J’ai l’impression qu’on essaie de développer une certaine modernité, tout en sachant qu’il y a un peu de temps qui s’écoule entre l’écriture d’un profil de certification et son entrée dans les écoles.

Comme, dans l’enseignement ordinaire, il faut s’ouvrir aux nouveaux métiers et adapter les formations scolaires pour réduire le décalage avec le monde du travail. Est-ce que cela va trop lentement pour les écoles ? Pour les élèves et leurs familles ? Même si nous n’avons pas les réponses à ces questions, il semble essentiel de s’en emparer et se préoccuper du timing concernant l’ouverture de nouvelles options et les attentes des écoles, des élèves et de leurs familles à ce sujet.

Cela étant, une part non-négligeable des élèves sortant de forme 3 n’intègre pas la vie active. Comme l’ont soulevé les acteurs rencontrés dans le cadre de notre étude de 2024, la réussite dans l’enseignement spécialisé n’assure pas le fait de travailler après. Même s’il est possible d’entrer dans le monde du travail, ce n’est pas facile pour autant. Qu’en est-il de l’accompagnement dans la recherche d’un emploi ? De l’adaptation des milieux de travail ? Du soutien aux employeurs ? Dans notre étude, nous apportons des réflexions et éléments de réponses à ces questions concernant l’avenir des élèves de l’enseignement spécialisé, qu’ils suivent leur parcours en forme 3 ou non. [13]

Pour revenir précisément à la forme 3, les options proposées, si bien données soient-elles, ne sont-elles pas parfois un leurre de formation professionnelle pour le jeune et ses parents ? Nous touchons là à l’épineuse question de l’inclusion socio-professionnelle des élèves sortant de l’enseignement spécialisé dans une société qui n’est pas encore inclusive.

Conclusion

Une fois qu’on est qualifié, on l’est avec ses besoins spécifiques. L’accompagnement et le choix de filière doivent permettre de pratiquer un métier dans lequel le besoin spécifique a le moins de répercussions. Un élève qui obtient sa qualification en forme 3 peut travailler dans une entreprise ordinaire au même titre qu'un autre employé. L’élève a une qualification qui est reconnue et qui lui permet de démarrer dans la vie.

Pour permettre une réelle insertion professionnelle future, l’UFAPEC demande de proposer des options dans la « filière métier »[14] en adéquation avec les besoins des élèves et la réalité professionnelle. Cela n’a pas de sens de continuer à proposer des métiers pour lesquels il y a peu, voire pas ou plus de débouchés. Il est aussi aberrant de constater que certaines formations sont organisées dans des types où les besoins spécifiques des élèves ne permettent pas de se réaliser dans le métier pour lequel ils se sont préparés. Cette adéquation dans l’offre d’enseignement est importante pour des apprentissages et un parcours de qualité dans l’enseignement spécialisé. Trop d’élèves doivent se rabattre sur des options qui ne leur correspondent pas ou qui sont incompatibles avec leur handicap. Quelle motivation peuvent-ils alors trouver ?

L’essentiel est de permettre aux élèves de choisir un métier qui leur convient et qui leur plait, de développer des acquis et des compétences, de construire un projet de vie et de partir vers quelque chose qui a du sens pour eux.

 

Alice Pierard

 


[1] Indicateurs de l’enseignement, 2023, p. 37, Enseignement.be - Les Indicateurs de l’enseignement 2023

[2] HOUSSONLOGE D. et PIERARD A., Réussir dans l’enseignement spécialisé : est-ce utile ?, étude UFAPEC 2024, UFAPEC - 13.24/Et2 - Réussir dans l’enseignement spécialisé : est-ce utile ?

[3] Secrétariat général de l’enseignement catholique.

[4] Interview réalisée le 4 février 2025.

[5] Interview réalisée le 4 avril 2024.

[6] La dyspraxie, aussi appelée trouble développemental de la coordination (TDC), est un trouble neurologique qui affecte la planification, l'organisation, l'exécution et l'automatisation des gestes et des mouvements. Elle se manifeste par des difficultés à réaliser des actions quotidiennes (habillage, écriture, dessin, etc.)

[7] Interview réalisée le 23 mai 2024.

[8] Institut royal pour sourds et aveugles.

[9] Interview réalisée le 23 mai 2024.

[10] Interview réalisée le 23 mai 2024.

[11] LORIERS B., Le massage entre élèves à l’école fondamentale, une piste pour améliorer le climat scolaire ?, analyse UFAPEC 2024, Ufapec - 18.24/ Le massage entre élèves à l’école fondamentale, une piste pour améliorer le climat scolaire ?

[12] Interview réalisée le 29 mars 2024.

[13] HOUSSONLOGE D. et PIERARD A., Réussir dans l’enseignement spécialisé : est-ce utile ?, pp 37-42.

[14] L’UFAPEC souhaite que l’on utilise la dénomination « filière métier » pour parler de l’enseignement qualifiant. Pour aller plus loin : Mémorandum 2024, p. 95, Ufapec - Mémorandum UFAPEC 2024.

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