Analyse UFAPEC décembre 2024 par D. Houssonloge

20.24/ L’obligation scolaire à 3 ans est-elle possible sans la collaboration des parents ?

Les groupes ont besoin de règles, mais la façon d’inciter tous les membres du groupe à respecter ces règles fait toute la différence.
Thomas Gordon

Introduction

En 2015, dans le cadre des travaux du Pacte pour un enseignement d'excellence, on mettait l'accent sur les difficultés de scolarisation précoce pour des élèves issus de milieux vulnérables[1] alors que l'école maternelle est essentielle pour accrocher l'enfant et permettre sa réussite scolaire. Depuis 2014, l'UFAPEC, comme d'autres acteurs, demandait de soutenir l'école maternelle et d'abaisser l'âge de l'obligation scolaire pour autant que les conditions d'accueil soient remplies.[2] En 2019, une loi était votée au parlement fédéral ramenant l'âge de cette obligation de 6 à 5 ans.[3] Toujours dans le cadre des travaux du Pacte, l’enseignement maternel a été renforcé et un référentiel des compétences initiales a été rédigé.[4]

En mai 2023, le gouvernement a enclenché la vitesse supérieure : le sénat a approuvé une proposition de résolution[5] pour ramener l’obligation scolaire à 3 ans au lieu de 5. Nous avons consacré une analyse à la question fin 2023 au regard des besoins et du développement de l’enfant à 3 ans.[6]

Dans sa déclaration de politique communautaire (DPC), le nouveau gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles évoque à nouveau le bénéfice d'une scolarisation précoce pour l'élève particulièrement issu de milieux défavorisés.[7] Nous venons de publier une analyse sur la question dans le cadre de la lutte contre les inégalités sociales.[8]

Toujours dans la DPC, le gouvernement évoque également l’importance de développer un partenariat entre l’école et les familles pour un parcours scolaire réussi notamment via un nouveau "contrat" traduit dans le ROI des écoles.[9]

Comme nous allons le développer, les enfants qui vivent dans des conditions vulnérables sont souvent ceux qui sont le moins scolarisés à 3 ou 4 ans et beaucoup de ces familles sont dans la peur, le malaise voire la brouille avec l’école. Des parents considèrent également, et pas que dans les milieux défavorisés, que c’est à eux de garder et prendre soin, du moins à temps partiel, de leur enfant de 3 ans. Dès lors, l’obligation scolaire à 3 ans pour plus d’inclusion et de réussite des publics vulnérables est-elle possible sans la collaboration des parents ?

Dans cette publication, nous nous interrogeons sur l’intérêt pour l’enfant de rendre la scolarité obligatoire à 3 ans : cette obligation va-t-elle lui être bénéfique si ses parents ne sont pas demandeurs ? Comment l’école et en particulier les enseignants vont-ils pouvoir développer une collaboration avec des parents « contraints » et éloignés de la norme scolaire ? Avec quels moyens, quel langage commun ?

Les freins à une scolarisation précoce[10]

Contrairement à d'autres pays européens, une grande majorité des enfants de 3 ans sont inscrits dans une école (96,6 % en Wallonie et 85,5 % à Bruxelles).[11]

Une recherche exploratoire menée pour la Fondation Roi Baudouin en 2013 reste pertinente pour connaitre ce que pensent les parents en situation vulnérable de l'accueil des 0-3 ans et notamment de l'entrée à l'école.[12] Cette recherche confirme que ce sont essentiellement les mamans qui restent en charge du tout petit et de sa scolarisation. Un tiers des mamans environ est mère célibataire, certaines sont très jeunes, voire mineures, et sont parfois encadrées par des services sociaux.[13]

Alors que ces mamans expriment des réserves à confier leur enfant à des structures d'accueil (crèche, etc.), elles sont favorables à sa scolarisation à 3 ans : les mamans sont animées d’un grand désir de voir leurs enfants entrer dans les apprentissages. Ceci est particulièrement sensible pour l’apprentissage de la langue de l’enseignement par les enfants issus de l’immigration.[14] Il peut même s'agir pour des mamans de l'occasion de se projeter dans autre chose et de sortir de l'isolement.[15]

Si l'on connait les chiffres d'inscription à l'école des enfants de 3 ans, on ne connait pas pour autant le taux de fréquentation réelle.[16] En l'absence de cet indicateur, la recherche précitée nous éclaire sur les freins qui empêchent les familles vulnérables de scolariser leur enfant dès 3 ans. Voici quelques témoignages à ce sujet :

- Il n’est plus allé. Il ne voulait plus parce que d’autres enfants lui ont tiré les cheveux.

- Dans la nouvelle école, il est rentré à 4 ans, mais vu que j’étais en déprime, il n’allait pas souvent. On restait à la maison.

- Quand j’étais enceinte du 3e, je n’arrivais plus à porter les deux autres, monter les escaliers, la rue pour aller à l’école, alors le docteur m’a dit qu’il fallait que je me repose.

- Quand mon compagnon travaillait, vu que je n’ai pas de voiture et que le car ne passe plus, il est arrivé que les enfants restent au camping avec moi[17]

Pour résumer, les principaux obstacles sont un grand isolement, de très faibles revenus, un manque de mobilité, un fonctionnement familial de l'entre-soi, où la maman principalement reste à la maison et enfin une difficulté à confier leur enfant. Difficulté d'autant plus grande qu'il s'agit souvent de la première séparation et que pour beaucoup d'enfants l'entrée à l'école représente un bouleversement culturel.[18] Ces témoignages mettent encore en évidence le fait que les familles vulnérables sont d'abord absorbées par la gestion du quotidien pour maintenir un équilibre précaire.

Nous avons évoqué dans notre publication précédente[19] les difficultés d'une scolarisation du point de vue de l'enfant. Voyons à présent le point de vue des parents !

L’école à 3 ans et le partenariat école-familles

Le partenariat dans la DPC

Une scolarité réussie et épanouie, d’autant plus lors de l’entrée du tout petit, nécessite une collaboration entre l’école et les parents.

Nous saluons la volonté du gouvernement, exprimée dans la DPC, d’aller dans ce sens particulièrement pour l’inclusion des publics vulnérables : nous souhaitons favoriser la fréquentation scolaire dès le plus jeune âge et intégrer l’enfant et sa famille dans l’univers de l’école. L’école doit être le lieu de l’égalité des chances et des opportunités. Le gouvernement voit les parents comme des partenaires de l’école.[20] […] En vue d’un partenariat éducatif durable et constructif entre les équipes éducatives et les parents d’élèves de tous les milieux socio- économiques et culturels, le Gouvernement mettra en place un nouveau contrat […] en mettant en avant la confiance réciproque entre les acteurs, le respect des autres, des codes de l’école et des règles de vie de la communauté, l’importance du plaisir d’apprendre et du travail.[21]

Une collaboration et même un contrat école-familles tel qu’évoqué dans la DPC présupposent la volonté et la capacité des différents acteurs à communiquer. Est-ce le cas ? Quant au contrat évoqué, nous restons vigilants, ne sachant quelle forme il prendra ni à quoi il obligera les parents.

Le partenariat dans les faits

Nous l'avons vu par le taux élevé d'inscription à 3 ans, la plupart des parents sont convaincus avant l'entrée à l'école de l'enfant de l'importance de la scolarité. Cependant, une fois l'enfant entré à l'école, on constate qu'il est malaisé qu'une communication s'instaure entre parents vulnérables et institution scolaire notamment lorsqu'il s'agit des apprentissages. Cette absence de dialogue rend une scolarisation précoce difficile.[22]

Cela nous conduit à des questions fondamentales : comment communiquer avec l’école quand on ne comprend pas ou peu le français, quand on est en difficulté par rapport à la langue écrite ? Comment demander à des parents qui ne maitrisent pas les codes, les implicites et les règles de vie de la communauté scolaire d’y adhérer et de les faire respecter par leur enfant ? Et inversement, alors qu’ils ont été peu ou pas formés aux questions de la précarité et de la médiation socio-culturelle, comment demander aux enseignants de (re)connaitre la culture des parents vulnérables, d’investir d’autres modes de communication pour construire une relation de qualité ?

Une recherche, menée dans le canton de Fribourg en Suisse, portant sur les relations école-familles dans une perspective de communication interculturelle apporte un éclairage intéressant. Précisons tout d'abord que dans ce canton, l'obligation scolaire est passée de 5 à 4 ans.[23] Les travaux révèlent que malgré la bonne volonté des enseignants et des parents, un partenariat n’a pas pu s'installer. La raison principale de ce manque de collaboration est l'incapacité des acteurs à construire une relation de qualité[24], incapacité influencée par l'ethnocentrisme institutionnel de l'école : les enseignants considèrent, certainement de façon inconsciente, leur pensée comme allant de soi, voire seule valide, et donc inutile à expliciter aux parents. Si le parent n’adhère pas ou ne reconnaît pas cette perspective, il est perçu comme étant responsable et déficitaire lorsque des difficultés se présentent.[25] Il y a déjà un malentendu quant à la préparation de l’enfant pour son entrée à l’école à 4 ans : les parents sont confiants et convaincus que leur enfant a deux ans de scolarisation pour être préparé à l’école primaire alors qu’il y a une attente forte des enseignants pour que l'enfant arrive à 4 ans en ayant des compétences qu'ils jugent indispensables et qui ne sont pourtant pas maitrisées (s’habiller seul, tenir le crayon ou les ciseaux correctement). Par conséquent dans le cas présent, cette année supplémentaire de scolarisation ne renforce pas l’égalité des chances mais la déforce, les parents ayant une année de moins pour rendre leur enfant conforme à la norme scolaire.[26]

Les observations de ces travaux illustrent bien la relation asymétrique école-familles qui s'installe très vite. S'ensuit un désengagement des parents vulnérables dès l'école maternelle, voire de l'agressivité, comme l'évoque encore la recherche de la FRB : Des incidents, même anodins, peuvent envenimer la relation et déboucher sur des conflits dans lesquels les mamans se sentent souvent en position d’infériorité, ce qui en rend certaines maladroites, voire agressives.[27]

Le fait que les parents vulnérables préfèrent communiquer avec des membres du personnel autres que les enseignants, comme la puéricultrice, l'accueillant ou le personnel d'entretien[28], en est un bon indicateur. Nous rencontrons régulièrement des écoles qui l'ont compris et utilisent ce levier pour se rapprocher des familles par l'engagement d'un éducateur ou d'un accueillant issu du quartier ou de la communauté.

Les jeunes parents en situation de précarité sont dans un stress éducatif et dans le doute par rapport à leurs compétences parentales. Comment construire une relation de confiance et communiquer avec eux ? Outre la formation initiale et continue des enseignants, un soutien à la parentalité est nécessaire aussi à l’école. À l’heure actuelle, ce soutien en Fédération Wallonie- Bruxelles ne concerne quasiment que la petite enfance (0-3 ans) alors que plus l’enfant grandit plus le rôle de parent devient complexe. Pourquoi cette disproportion ? Certainement parce que nous sommes encore dans une approche médicalisée de la petite enfance, approche héritée du XIXème siècle où la mortalité des nourrissons était importante. Aujourd’hui, n’est-il pas temps de déployer un soutien à la parentalité qui permette aussi le développement psycho-social de l’enfant ?

En amont, un accompagnement à la parentalité

La recherche et nos observations sur le terrain montrent que si l'école veut réduire les inégalités sociales, un accompagnement à la parentalité est indispensable. Comme l'ONE (Office national de l'enfance) le précise, ce travail présente cinq défis majeurs : favoriser chez les parents une « prise de conscience » de la réalité vécue par l’enfant et de ses besoins ; valoriser les compétences parentales ; aller à la rencontre des personnes là où elles se trouvent ; faire une alliance parents-professionnels et enfin mobiliser le réseau et les ressources pour casser la logique de précarisation.[29]

Dès lors des travailleurs sociaux formés à la médiation interculturelle sont nécessaires pour assurer ce soutien d'une part et permettre l'instauration de liens entre l'école et les secteurs en contact avec les familles vulnérables (consultations ONE, service d'accueil et de garde de la petite enfance, structure d'alphabétisation, d'intégration, de médiation interculturelle, AMO (Aide en milieu ouvert), EDD (école de devoirs), maisons de quartier…) d'autre part. Décloisonner l'école permettra au monde enseignant de se sentir soutenu dans l'inclusion et la communication avec ces familles vulnérables.

Ensuite seulement, une collaboration école-familles sera possible.[30]

Pistes et conclusion

En conclusion, l’obligation scolaire à 3 ans est-elle possible sans la collaboration des parents ? Évidemment que non !

Si au départ, une grande majorité des familles vulnérables est favorable à une scolarisation précoce pour un meilleur avenir de l'enfant, différents freins, à commencer par des situations d'exclusion sociale, empêchent une scolarité régulière de l'enfant. Par ailleurs, étant donné le cadre de références propre à l'école distant , voire opposé, de celui des familles, un rapport inégal s'installe alors entre l'institution scolaire qui détient "le savoir" et les parents. Ces derniers ressentent une tentative d'assimilation et de disqualification qui les conduit à la peur, au désengagement ou, parfois, au conflit.

Pire, comme le montre l'exemple du canton de Fribourg, une ou deux années de scolarisation supplémentaires sans dispositif de familiarisation et de partenariat peuvent renforcer les inégalités.

L'UFAPEC rejoint le gouvernement dans l'idée que l'école maternelle est fondamentale dans la scolarité et représente un levier dans la lutte contre la précarité. Toutefois, une scolarisation précoce passe d'abord par la création d'une relation de confiance.

Pour atteindre cet objectif, l'UFAPEC demande que les écoles bénéficient d'un dispositif de soutien à la parentalité dans l'école particulièrement pour les familles vulnérables. Ce soutien à la parentalité permettra ensuite d'instaurer une collaboration école-familles choisie et consentie. Rappelons encore que l'UFAPEC soutient l'obligation d'inscription, mais demande une souplesse dans l'obligation de fréquentation jusqu'à 5 ans[31] : en effet, autoriser une scolarisation à temps partiel permet, entre autres, un temps d'adaptation dont et certains enfants et les familles vulnérables ont besoin pour, notamment, trouver leur place.

L'accompagnement à la parentalité est aussi à construire dans le cadre d'un espace-parents et d'une association de parents dont l'UFAPEC stimule la création. L'inclusion par les pairs est particulièrement efficace et représente une mission essentielle des associations de parents : l'AP tente de favoriser la meilleure relation possible entre l’établissement scolaire et l’ensemble des parents de l’école. Elle soutient aussi les parents dans leurs responsabilités d’éducateurs et de citoyens, et développe la solidarité entre les personnes.[32]

 

Dominique Houssonloge

 


[1] Nous privilégions le terme élève ou famille « vulnérable », la question de la précarité étant complexe et se situant bien au-delà d’une question financière.

[2] Voir notamment UFAPEC, Mémorandum 2014, p. 9 - https://www.ufapec.be/files/files/Politique/memorandum/memorandum-2014.pdf,

HOUSSONLOGE D., L’école maternelle, un levier pour éviter la reproduction de la pauvreté ?, analyse UFAPEC 2016 n°06.16 - https://www.ufapec.be/nos-analyses/0616-maternelles-et-pauvrete.html, et L’école à 2,5/3 ans, une bonne chose pour l’enfant ?, analyse UFAPEC 2016 n° 11.16 -  https://www.ufapec.be/nos-analyses/1116-l-ecole-a-2-5-3-ans-une-bonne-chose-pour-l-enfant.html

[3] Projet de loi du 14 mars 2019 modifiant la loi du 29 juin 1983 concernant l’obligation scolaire afin d’instaurer l’obligation scolaire à partir de l’âge de 5 ans. Texte adopté en séance plénière. www.lachambre.be/flwb/pdf/54/0051/54K0051008.pdf

[4] Fédération Wallonie-Bruxelles, Pacte pour un enseignement d’excellence, Avis n° 3 du groupe central, mars 2017, p. 11 et Référentiel des compétences initiales. Juillet 2020.

[6] HOUSSONLOGE D., J’ai 3 ans et je dois entrer à l’école. Besoins de l’enfant et obligation scolaire à 3 ans.  - analyse UFAPEC 2023 n° 2123 - https://www.ufapec.be/nos-analyses/2123-ecole-a-3ans.html

[7] Déclaration de politique communautaire. Avoir le courage de changer pour que l’avenir s’éclaire, Législature 2024-2029, 11/07/2024, p. 28.

[8] HOUSSONLOGE D., Obligation scolaire à 3 ans, un levier pour les publics vulnérables ?, Analyse UFAPEC 2024, n°19.24 - https://www.ufapec.be/nos-analyses/1924-obligation-scolaire-3ans-echec.html

[9] DPC, ibidem.

[10] Nous n'aborderons pas ici le cas des familles qui choisissent de faire l'école à domicile et qui en ont les ressources, c'est un autre débat.

[11] DPC, ibidem.

[12] Fondation Roi Baudouin, Ce que des parents en situation de précarité disent de l’accueil et de l’éducation des tout-petits, juin 2013.

[13] Fondation Roi Baudouin, op. cit., pp. 9 et 41.

[14] Idem, p. 39.

[15] Idem, p. 33.

[16] Pour plus d’information voir HOUSSONLOGE D., op. cit., p. 4.

[17] Fondation Roi Baudouin, op. cit., pp. 32?33.

[18] HOUSSONLOGE D., op. cit.

[19] Idem

[20] DPC, op. cit., p. 6.

[21] DPC, ibidem, p. 28.

[22] Voir notamment Fondation Roi Baudouin, op. cit., p. 44

[23] Les accords HarmoS sont entrés en vigueur en août 2009. Voir notamment IRDP (Institut de recherche et de documentation pédagogique), Conférence intercantonale de l'instruction publique de la Suisse romande et du Tessin, Concordat HarmoS, 2007 et dernière mise à jour le 26.09.2024 - https://www.irdp.ch/institut/concordat-harmos-2228.html

[24] "OGAY T., Quand l'enfant devient élève, et les parents, parents d'élèves. Construction de la relation entre les familles et l'école lors de l'entrée à l'école (recherche COREL). Rapport final FNS, pp. 2-3, janvier 2017 - https://folia.unifr.ch/rerodoc/308917/files/2017_ogayal_quandlenfantdevientlve_corel_rapportfns.pdf

[25] OGAY T., ibidem, p. 5.

[26] OGAY T., ibidem, p. 4.

[27] Fondation Roi Baudouin, op. cit., p. 34.

[28] Idem.

[29] ONE, Pour un accompagnement des familles en situation de vulnérabilités psychosociales, Bruxelles, 2019, p. 10 - https://www.one.be/fileadmin/user_upload/siteone/PRO/SOUPA/Accompagnement-des-familles-en-situation-vulnerabilites-psychosociales.pdf

[30] Nous avons développé les conditions et les étapes d’un partenariat école-familles dans HOUSSONLOGE D. et PIERARD A., L’école face aux comportements radicaux de parents - étude UFAPEC 2021 n°20.21/Et3, pp. 38-52. - https://www.ufapec.be/nos-analyses/2021-et3-parents-radicaux.html

[32] UFAPEC, Qu'est-ce qu'une association de parents ? - https://www.ufapec.be/association-de-parents/

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