Analyse UFAPEC décembre 2025 par Alice Pierard

22.25/ L’évaluation dans le secondaire spécialisé de formes 3 & 4 : pour quoi faire ?

Introduction

En 2024, nous avons conclu notre étude[1] sur la réussite dans l’enseignement spécialisé en soulignant qu’au niveau pédagogique, l’enseignement spécialisé a une longueur d’avance dans sa conception et la mise en œuvre de l’évaluation et de la réussite. Même si les élèves de l’enseignement spécialisé ont des besoins spécifiques importants, manquent parfois de confiance en eux, ce même enseignement a su développer une pédagogie de la réussite pour rendre le système scolaire plus efficace et équitable. Des éléments-clés de cette pédagogie sont une approche globale de la réussite, la confiance en soi, l’autonomisation des élèves, une évaluation formative et continue au service des apprentissages et de la progression des élèves, tout en permettant le droit à l’erreur.[2]

L’évaluation est un élément de questionnement pour les acteurs scolaires (parents, élèves, enseignants et directions). Nous allons approfondir dans cette analyse la réflexion à ce sujet en nous concentrant sur l’enseignement secondaire spécialisé de formes 3 et 4. L’évaluation est-elle réellement pensée pour soutenir les apprentissages des élèves à besoins spécifiques ? Ou bien reste-t-elle un outil normatif, un instrument de référence peu adapté à la diversité de profil des élèves ?

Selon le code de l’enseignement, l’école doit assurer à tous les élèves des chances égales d’émancipation sociale.[3] Dans ce cadre, quels sont les objectifs de l’évaluation dans les formes 3 et 4 de l’enseignement secondaire spécialisé ?

Définition des formes 3 et 4

L’enseignement secondaire spécialisé est organisé en quatre formes. Ces formes ont des visées différentes et permettent de construire le projet personnel de chaque élève. Nous allons nous concentrer dans cette analyse sur les formes 3 et 4.[4]

  • Forme 3 – enseignement professionnel : formation générale, sociale et professionnelle rendant possible l’insertion socioprofessionnelle
  • Forme 4 – enseignement de transition ou de qualification : formation correspondant à l’enseignement secondaire ordinaire avec un encadrement différent, une méthodologie adaptée et des outils spécifiques

Ces deux formes d’enseignement sont organisées dans différents types de l’enseignement spécialisé. Les types de l’enseignement spécialisé répondent aux besoins éducatifs et de formation des élèves à besoins spécifiques.[5]

Les différents types se caractérisent comme suit :

  • Type 1 – destiné aux élèves présentant un retard mental léger (seulement la forme 3)
  • Type 2 – destiné aux élèves présentant un retard mental modéré ou sévère
  • Type 3 – destiné aux élèves présentant des troubles du comportement
  • Type 4 – destiné aux élèves présentant des déficiences physiques
  • Type 5 – destiné aux élèves malades et convalescents
  • Type 6 – destiné aux élèves présentant des déficiences visuelles
  • Type 7 – destiné aux élèves présentant des déficiences auditives
  • Type 8 – destiné aux élèves présentant des troubles des apprentissages (seulement la forme 3)

En formes 3 et 4 : évaluation et certification

Les formes 3 et 4 ont des objectifs équivalents à ceux de l’enseignement ordinaire. Les élèves sont donc soumis aux mêmes évaluations et peuvent obtenir les mêmes certificats à la fin de leur parcours.

  • La forme 4 suit les référentiels de l’enseignement secondaire général ordinaire. Les diplômes et les exigences sont équivalents. Les élèves peuvent obtenir leur CESS.
  • La forme 3 peut aboutir aux mêmes certifications que l’enseignement ordinaire : CEB, CE1D, CE2D, mais pas le CESS. Les élèves peuvent aussi obtenir un certificat de qualification (CQ).

Paul-André Leblanc, responsable du secteur de l’enseignement secondaire spécialisé au SeGEC (secrétariat général de l’enseignement catholique), explique que dans ces formes d’enseignement, avec un encadrement adapté, on est très proche de la réalité de l’enseignement ordinaire en matière de réussite.[6]

L’évaluation permet de porter un jugement sur les connaissances et les compétences des élèves. La Fédération Wallonie-Bruxelles distingue quatre modalités d’évaluation, définies dans le code de l’enseignement :

  • L’évaluation certificative intervient dans la délivrance d’un certificat d’enseignement ;
  • L’évaluation externe est confiée à des instances extérieures à l’équipe pédagogique d’une école ;
  • L’évaluation formative vise à mesurer les progrès, les acquis et les difficultés de l’élève afin d’améliorer ou de réajuster son cheminement face aux apprentissages ;
  • L’évaluation sommative permet d’établir un bilan des acquis des élèves par rapport aux attendus au terme d’une ou de plusieurs séquences d’apprentissage.[7]

Dans l’enseignement spécialisé, l’évaluation est comprise comme une pratique qui valorise les progrès accomplis. Il s’agit de penser en termes de réussite, plutôt qu’en terme d’échec, dans une logique positive et constructive. Cela se traduit dans la mise en place du plan individuel d’apprentissage (PIA)[8] de l’élève, des moments de feedback et une évaluation continue et formative comme levier au service des apprentissages.

Lors de rencontres, des parents de l’enseignement spécialisé nous ont partagé leur vécu concernant l’évaluation et la motivation qui en découle :

  • Je sens ma fille beaucoup plus motivée et confiante. Les évaluations sont adaptées.
  • Certains enseignants sont très motivés, surtout les enseignants de pratique professionnelle qui adorent leur métier et ont envie de transmettre leur passion. Du coup, mon fils est motivé !
  • La réussite, c’est avant tout l’autonomie de nos enfants.
  • Dans l’ordinaire c’était échec sur échec. Ici, notre enfant évolue, il se sent beaucoup mieux au niveau confiance et estime de soi. Les évaluations sont moins stressantes.

La certification, est-ce l’objectif premier ?

Comme pour tout parent d’élève, les attentes en matière de réussite scolaire des parents d’élèves inscrits dans l’enseignement spécialisé peuvent rester très fortes, surtout dans les formes 3 et 4 qui ont des finalités rejoignant celles de l’ordinaire et d’autant plus si certains élèves rejoignent un jour l’enseignement ordinaire secondaire ou supérieur. Lors d’une soirée d’échange en mars 2024, des parents nous ont transmis leurs impressions concernant l’évaluation dans l’école de leur enfant :

  • En type 4 forme 4, j’ai trouvé que c’était comme dans l’ordinaire. Les évaluations sont semblables et cela me parait normal car les objectifs sont les mêmes.
  • Dans l’école de mon enfant en forme 4, il y a des examens deux fois par an suivis de bulletins avec notes. À d’autres moments de l’année, il y a deux bulletins axés sur le comportement de l’enfant. Ma fille passera son CE1D fin de cette année.
  • Pour notre fille en forme 3, les évaluations tout au long de l’année sont fort axées sur le comportement. Il y a des points et compétences acquises/non acquises. Une grande attention est apportée à la maturité des élèves.

Certains parents accordent une grande importance aux bulletins de leur enfant. Paul Gérard, inspecteur à la direction générale de l’enseignement obligatoire, partage l’importance de rendre le bulletin compréhensible par tous. Il est adapté en fonction de la forme. Certains bulletins utilisent des pictogrammes, des couleurs parce qu’il est important que non seulement les parents comprennent, mais également l’élève.[9] Le bulletin ne doit pas servir à comparer l’élève aux autres, les points ne sont pas l’essentiel. Il s’agit d’une évaluation des compétences et des faiblesses du jeune pour qu’il progresse en utilisant l’erreur comme source d’apprentissage.

Hugues Pigeon, directeur de l’école la Cordée à Wasmes[10], explique comment l’évaluation est organisée dans son école. En forme 3, dans les cours généraux, c’est une évaluation continue. Dans les ateliers, il y a des profils de métier à suivre. Un élève pourrait avoir sa qualification sans avoir son CESS. Si on compare avec les autres écoles spécialisées, la certification a une base légale et un socle commun pour tous. Ce qui diffère fort d’une école à l’autre, c’est l’octroi ou non du CE2D. Dans toutes les écoles de forme 3, le CEB est obtenu si l’élève réussi la phase 2.[11] A la Cordée, on a une épreuve CE2D professionnel. On prépare nos élèves à la passer pour avoir de plus grandes bases en français et en mathématiques. Toutes les écoles ne poussent pas aussi fort leurs élèves à ce sujet. [12]

À l’école Saint-Édouard de Stoumont[13], pour nos élèves de forme 3, c’est important d’avoir le certificat de qualification même si tous ne l’obtiennent pas.[14]

Frédérique Verhulst, directrice de l’école l’Escalpade à Limal[15], explique rechercher le meilleur pour ses élèves. Notre objectif, pour tous nos élèves, c’est qu’ils soient compétents et fiers d’eux-mêmes.[16]

Sur le terrain, la certification a son importance. Cette certification a une influence sur l’inclusion socioprofessionnelle future des élèves. Comme en témoignent les directions, dans chaque école, il y a une adaptation de l’évaluation aux profils de l’élève et un regard différent sur la certification. Celle-ci n’est peut-être pas l’objectif premier, mais elle garde une réelle signification pour les acteurs de l’enseignement et est un plus pour l’élève.

Faut-il mettre en valeur les compétences psycho sociales ?

Dans une étude sur l’évaluation, Sybille Ryelandt pose la question : faut-il tout évaluer ? [17] Les compétences de type soft skills, comme la connaissance de soi, la coopération, l’autonomie dans les apprentissages, sont importantes dans l’enseignement spécialisé. Chercher à voir l’enfant dans sa globalité est une chose, mais est-ce possible d’objectiver cela ? Tout ce qui s’enseigne est-il évaluable, mesurable et rentre-t-il dans des grilles critériées ? Est-il pertinent de vouloir tout évaluer ?

Les acteurs scolaires interrogés (parents, élèves et directions) dans le cadre de notre étude ont démontré les bénéfices pour les élèves à besoins spécifiques de faire leur parcours dans l’enseignement secondaire spécialisé. Une importance y est accordée à l’autonomisation des élèves, l’épanouissement et l’estime de soi. Dans ce sens, une des questions des parents est de savoir comment donner plus de valeur aux compétences psycho-sociales de leur enfant et comment les évaluer.

En forme 3, les évaluations vont tenir compte de ces compétentes comportementales, relationnelles et humaines. Pour Paul Gérard, c’est ça que l’on doit évaluer, plutôt que les savoirs. Le talent de l’enseignement spécialisé, c’est qu’à minima on se pose ces questions-là via le plan individuel d’’apprentissage (PIA). Le PIA est un outil essentiel de l’enseignement spécialisé pour appréhender l’élève dans sa globalité.

Les cours pratiques et plus particulièrement les stages sont des moyens pour les élèves de développer leurs compétences psycho-sociales. Julien Anciaux, conseiller pédagogique pour l’enseignement secondaire spécialisé au SeGEC, précise que l’élève ne peut pas être qualifié s’il n'a pas fait ses stages. Cela lui permet de se confronter au monde de l'entreprise, même si le stage n'est pas certificatif. On va surtout voir l'immersion en milieu professionnel et le développement des compétences psycho-sociales. Les stages font progresser vers une autonomie de plus en plus croissante.[18]

Tous les acteurs ne sont pas d’accord sur l’intérêt ou non d’évaluer le savoir-être, car un certain nombre de parents sont plutôt en attente d’une évaluation de savoirs ; de même des enseignants veulent ou doivent d’abord évaluer ces savoirs. Mais finalement, qu’est ce qui est le plus important pour le jeune et son insertion socio-professionnelle ? Où mettre le curseur dans l’évaluation entre les savoirs, les savoir-faire et les savoir-être ? L’expérience de nombreuses écoles nous pousse à croire que les savoir-être sont tout aussi déterminants pour la future insertion socio-professionnelle du jeune. En effet, beaucoup d’employeurs estiment les jeunes de l’enseignement spécialisé de formes 3 et 4 plus compétents à ce niveau que d’autres jeunes de l’ordinaire et il n’est pas rare que la fin de stage débouche sur un engagement.

Faut-il mettre en valeur l’évaluation formative ?

L’évaluation formative et le droit à l’erreur ont leur place dans l’enseignement secondaire spécialisé où il n’y a pas de redoublement. Comme l’explique Hugues Pigeon, l’élève passe d’une phase à l’autre quand il est prêt. S’il y a quelque chose dont l’enseignement ordinaire pourrait s’inspirer c’est bien ça. L’absence de redoublement, la valeur positive de l’erreur, le fait de passer à tout moment d’une phase à l’autre permet la continuité du parcours et le maintien de la motivation.

L’évaluation formative peut être une base solide pour l’évaluation sommative et certificative. Paul Gérard partage que dans l’enseignement spécialisé, on ne fait que du formatif et une fois que l’élève a réussi, cela devient une évaluation certificative. Cela permet d’inverser le sens de la roue qui a souvent été la leur par le passé : le cercle vicieux de l’échec plutôt que de la réussite. L’essentiel, c’est l’accompagnement après un échec. Cela donne une autre valeur à l’erreur. Si elle est vue de manière constructive, elle permet de comprendre les faiblesses de l’élève et de travailler avec lui pour améliorer ses capacités, ses connaissances et ses compétences.

C’est le cas à l’école Saint-Édouard de Stoumont. On les prépare et quand on estime qu’ils sont prêts, ils passent la situation d’intégration, histoire de ne pas les mettre en situation d’échec. La posture est intéressante en termes de motivation et d’estime de soi. Parfois, le professeur estime que l’élève est prêt, mais, pour ne pas le stresser, il ne lui parle de rien et lui fait passer la situation d’intégration (évaluation sommative) comme si c’était une évaluation formative. On s’adapte vraiment au jeune. Pour d’autres élèves, c’est l’inverse : ils demandent à passer leur situation parce que cela les stimule.

L’évaluation formative mesure les progrès, les apprentissages et les difficultés de l’élève sans le mettre dans une situation de stress. Elle pourrait donc avoir autant de valeur qu’une évaluation sommative.

Faut-il adapter les évaluations ?

Comme un papa nous l’a partagé, on pourrait envisager une adaptation de l’évaluation selon les besoins spécifiques de l’élève pour les formes 3 et 4, mais il ne faudrait pas que cela soit un diplôme au rabais qui empêche le jeune d’aller dans le supérieur. Les élèves sortent avec les mêmes diplômes que ceux de l’enseignement ordinaire. Cela n’empêche pas, comme avec les aménagements raisonnables dans l’enseignement ordinaire, de s’adapter aux profils des élèves.

Frédérique Verhulst exprime avoir fait un énorme travail avec le SeGEC au sujet de l’évaluation pour l’adapter dans son école. On se rendait compte qu’il y avait un placage de l’évaluation faite dans l’enseignement ordinaire. Cela mettait en échec nos élèves et cela ne valorisait pas leurs forces. On suit les programmes, parce qu’on est obligés. Il ne faut pas qu’on commence à faire des certifications à notre sauce, mais les aménagements raisonnables existent.

Paul Gérard partage avoir adapté, individualisé les évaluations pour ses élèves, alors qu’il était enseignant. Je faisais du vocabulaire horticole avec mes élèves en forme 4, option horticulture, comme l’orthographe de rhododendron, phylloxéra ou autres termes très compliqués qui faisaient paniquer mes stagiaires. Ce sont mes élèves, tout fiers, qui apprenaient aux futurs régents l’origine du mot chrysanthème ou myosotis. Chaque élève était évalué différemment avec des objectifs spécifiques.

Chimène Dhainaut, directrice de l’IRSA à Uccle[19], voit les choses autrement, ce qui est essentiel étant le processus d’évaluation et le projet de vie du jeune en y impliquant les parents. Je ne suis pas certaine qu’il faille adapter l’évaluation. Je pense que l’évaluation ou la certification en fin de parcours, c’est un point d’arrivée.[20]

Quand on fonctionne avec les mêmes référentiels et attentes que dans l’enseignement ordinaire, est-ce réellement possible d’adapter les évaluations ? Comme l’explique Julien Anciaux, pour l’enseignement qualifiant et la forme 3, il y a une volonté de centraliser tout au niveau d'un service qui produit les épreuves de qualification. La formation à l’IFAPME ou dans l’enseignement spécialisé de forme 3, ce sont des formations différentes, mais in fine, c'est la même épreuve pour la même qualification. D’où l’intérêt des unités d’acquis d’apprentissage. Une fois qu’une unité est validée à un endroit, à un instant, elle est validée pour de bon.

Adapter les évaluations pour que les besoins de l’élève ne soient pas un frein lors des moments d’évaluation, oui cela a du sens. Mais il est important de garder en ligne de mire les objectifs de l’évaluation, que ce soit en forme 3 ou 4. Des adaptations majeures ne peuvent pas se faire sur une évaluation qui est identique à celle de l’enseignement ordinaire. C’est comme pour le CEB, des aménagements raisonnables sont possibles, mais les compétences évaluées restent les mêmes pour les élèves à besoins spécifiques qui passent l’épreuve.

Conclusion

L’enseignement spécialisé de formes 3 et 4 est un lieu comme un autre pour réaliser son parcours scolaire. Il est pensé pour prendre en compte les besoins spécifiques et accompagner au mieux les élèves qui y suivent leur scolarité.

Pour un enseignement spécialisé qui soit un lieu éducatif pour tous ses élèves, l’évaluation doit rester un outil au service des apprentissages. Plutôt que de valoriser à tout prix l’évaluation certificative et risquer de créer de l’échec scolaire et des inégalités, l’apprentissage et la prise en compte des besoins spécifiques doivent rester le moteur de tous les acteurs scolaires (élèves, parents, enseignants).

Pour servir les apprentissages et viser la réussite de chaque élève, quel que soit son profil, l’évaluation doit être positive, reconnaitre le droit à l’erreur et mettre en valeur les progrès accomplis.

Il semble aussi essentiel de valoriser les compétences psycho-sociales des élèves, compétences qui font parties de leurs forces. Certains élèves sortent de l’enseignement spécialisé avec de belles capacités en termes de savoir-être et de savoir-faire, celles-ci doivent pouvoir être soulignées dans leur parcours futur.

Une évaluation continue, qui se fait tout au long du processus d’apprentissage, permet de se placer dans une perspective de maitrise des apprentissages de tous les élèves, plutôt que dans une perspective « d’excellence » de quelques-uns. La progression de tous les élèves, en vue de leur insertion socioprofessionnelle future, est l’objectif majeur de l’enseignement spécialisé. Dans ce sens, il faut aussi prendre en compte les compétences psycho-sociales, ces soft skills essentielles dans le cadre du marché du travail, et maintenir l’importance de l’évaluation formative et continue au service des apprentissages, qui prend le dessus sur l’évaluation certificative et atteste de la réussite des parcours scolaires.

 

Alice Pierard

 

 


[1] HOUSSONLOGE D. et PIERARD A., Réussir dans l’enseignement spécialisé : est-ce utile ?, étude UFAPEC 2024, UFAPEC - 13.24/Et2 - Réussir dans l’enseignement spécialisé : est-ce utile ?

[2] Idem, p. 50.

[3] « Missions prioritaires de l’enseignement fondamental et de l’enseignement secondaire », code de

l’enseignement, Titre IV, chapitre 1er.

[4] Nous traitons l’évaluation dans les formes 1 et 2 dans une autre analyse. PIERARD A., Quelle place pour l’évaluation dans l’enseignement secondaire spécialisé de formes 1 et 2 ?, analyse UFAPEC 2025, https://www.ufapec.be/nos-analyses/2325-evaluation-es-forme-1-2.html

[5] Le type 2 n’est pas concerné par les formes 3 et 4.

[6] Témoignage récolté le 4 avril 2024, dans le cadre de notre étude sur la réussite dans l’enseignement spécialisé.

[7] Code de l’enseignement fondamental et de l’enseignement secondaire, article 1.3.1-1.

[8] Le plan individuel d’apprentissage est un outil méthodologique élaboré pour chaque élève présent dans l’enseignement spécialisé ou suivi en intégration. Ce PIA est ajusté durant toute la scolarité de l’élève en énumérant les objectifs à atteindre en tenant compte de ses besoins spécifiques.

[9] Témoignage récolté le 15 mars 2024, dans le cadre de notre étude sur la réussite dans l’enseignement spécialisé.

[10] La Cordée propose la forme 3 pour les élèves relevant des types 1, 3 et 8.

[11] Selon les formes, l'enseignement secondaire spécialisé est découpé en phases d'apprentissage correspondant à la durée requise pour que l'élève atteigne les objectifs et maîtrise les compétences fixées. Le conseil de classe décide de la durée de la phase pour chaque élève. Il y a trois phases en forme 3.

[12] Témoignage récolté le 29 mars 2024, dans le cadre de notre étude sur la réussite dans l’enseignement spécialisé.

[13] L’école Saint-Édouard propose les formes 1, 2 et 3 pour les élèves relevant des types 1, 2 et 3.

[14] Témoignage récolté le 3 avril 2024, dans le cadre de notre étude sur la réussite dans l’enseignement spécialisé.

[15] L’Escalpade propose les formes 1 et 4 pour les élèves relevant du type 4.

[16] Témoignage récolté le 13 mars 2024, dans le cadre de notre étude sur la réussite dans l’enseignement spécialisé.

[17] RYELANDT S., Évaluer les élèves, pour quoi et pour qui ?, étude UFAPEC 2024, UFAPEC - 12.24/Et1- Évaluer les élèves, pour quoi et pour qui ?, pp. 41-43.

[18] Témoignage récolté le 4 février 2025.

[19] L’IRSA propose les formes 2, 3 et 4 pour les élèves relevant des types 1, 6 et 7.

[20] Témoignage récolté le 23 mai 2024, dans le cadre de notre étude sur la réussite dans l’enseignement spécialisé.

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